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Bernard Généreux appuie la prolongation des prestations d'assurance-emploi en cas de maladie grave

Mme Marie-Hélène Dubé, entourée du député de Bellechasse-Les Etchemins-Lévis, M. Steven Blaney (à gauche) et de M. Bernard Généreux, député de Montmagny--L'Islet--Kamouraska--Rivière-du-Loup, lors du Conseil général du parti Conservateur à Saint-Hyacinthe.

Le député de Montmagny-L’Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, M. Bernard Généreux ainsi que ses collègues conservateurs, ont voté récemment en faveur d’une motion bloquiste visant à augmenter de 15 à 50, le nombre de semaines éligibles pour les Canadiens atteints d’une maladie grave, et ce, pour l’obtention des prestations spéciales du programme d’Assurance-emploi.

C’est un dossier que le député conservateur local a à cœur depuis plusieurs années déjà, ayant été approché par la militante Marie-Hélène Dubé, qui cherchait depuis longtemps à sensibiliser les élus fédéraux à la problématique occasionnée par la loi actuelle lorsqu’une personne doit quitter son emploi en raison d’une maladie grave comme le cancer.

Rappelons qu’en mai 2018, Monsieur Généreux avait présenté une résolution au Conseil général de son parti à Saint-Hyacinthe invitant les militants conservateurs à appuyer l’idée de prolonger les prestations de chômage en cas de maladie.

Visiblement, ce dernier a continué de faire progresser l’enjeu au sein de son caucus à Ottawa.

« Je pense profondément que la maladie peut frapper à tout moment, et qu’il est impératif que toutes les personnes touchées puissent compter sur un programme qui limitera les dommages à tout le moins financiers, qui leur permettra de prendre du mieux en s’investissant d’abord en leur santé », a déclaré le député Bernard Généreux.

La motion a été adoptée par la Chambre des communes avec 169 voix combinées des élus conservateurs, bloquistes et néodémocrates, verts et d’une indépendante, alors que 149 députés libéraux ont voté contre.

Il s’agit, selon Bernard Généreux, d’une autre défaite enregistrée contre le gouvernement minoritaire de Justin Trudeau, qui n’a pu empêcher l’adoption, le 29 janvier dernier, d’une motion conservatrice demandant au vérificateur général d’enquêter sur le programme d’infrastructure de 188 milliards $.

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