MONTMAGNY- Les employés syndiqués, affiliés à la CSD, du magasin Coop IGA de Montmagny sont en grève, depuis le 19 janvier. L'avis de grève a été envoyé au ministère du Travail à cette date, soit 6 jours après que le conseil d'administration ait décrété un lock-out.
L'information a été confirmée auprès du personnel des communications du ministère du Travail.
Cette situation, si elle n'est pas commune, n'est pas rare non plus.
Le conseiller syndical à la CSD, Patrick Cyr, affirme qu'il s'agit d'une mesure préventive pour protéger ses membres. « Nous avons avisé le ministère du Travail que les travailleurs souhaitent exercer leur droit de grève. S'il y avait eu levée du lock-out, ils ne voulaient pas rentrer au travail n'importe comment selon les exigences de l'employeur sans avoir droit de parole sur les conditions qu'ils pourraient émettre. C'est un moyen de nous protéger. »
"Si mes gens avaient décidés de voter favorablement sur la levée du lock-out, la grève tombait automatiquement", tient à ajouter le conseiller syndical Patrick Cyr.
Les deux parties négocient aujourd'hui mardi, dernière journée prévue au calendrier des négociations. 95% des clauses normatives sont réglées. Des propositions salariales sont actuellement étudiées par la partie syndicale.
Le conflit perdure depuis le 13 janvier, soit 67 jours, en date d'aujourd'hui le mardi 20 mars.
Voici l'information telle qu'on la trouve sur le site du ministère du Travail.
Eric Bernard
418-234-6175
L'information a été confirmée auprès du personnel des communications du ministère du Travail.
Cette situation, si elle n'est pas commune, n'est pas rare non plus.
Le conseiller syndical à la CSD, Patrick Cyr, affirme qu'il s'agit d'une mesure préventive pour protéger ses membres. « Nous avons avisé le ministère du Travail que les travailleurs souhaitent exercer leur droit de grève. S'il y avait eu levée du lock-out, ils ne voulaient pas rentrer au travail n'importe comment selon les exigences de l'employeur sans avoir droit de parole sur les conditions qu'ils pourraient émettre. C'est un moyen de nous protéger. »
"Si mes gens avaient décidés de voter favorablement sur la levée du lock-out, la grève tombait automatiquement", tient à ajouter le conseiller syndical Patrick Cyr.
Les deux parties négocient aujourd'hui mardi, dernière journée prévue au calendrier des négociations. 95% des clauses normatives sont réglées. Des propositions salariales sont actuellement étudiées par la partie syndicale.
Le conflit perdure depuis le 13 janvier, soit 67 jours, en date d'aujourd'hui le mardi 20 mars.
Voici l'information telle qu'on la trouve sur le site du ministère du Travail.
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Eric Bernard
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