(Photo Carl Coulombe)
Sylvain Fournier - L'OIE BLANCHE
Même si l'événement n'a plus l'ampleur et la portée de ses belles années, le 42e Festival de l'oie blanche de Montmagny, version amincie qui se tenait du 10 au 14 octobre dernier, a connu un bon succès qui fait espérer à son président M. Alain Proulx, que les profits seront au rendez-vous cette année. M. Proulx estimait à plus de 20 000 le nombre de visiteurs qui ont pris part aux différentes activités du festival lors du long congé de l'Action de Grâces.
En entrevue quelques minutes avant les cérémonies de clôture lundi, le président du festival s'est dit très satisfait de la réponse du public les vendredi et samedi soirs, où on a fait salle comble pour le retour de la Défoule-t-oie, le souper patrons-employés et le spectacle de Cayouche. Autre salle comble, le dimanche après-midi les familles étaient au rendez-vous pour Arthur l'Aventurier et la parade des mascottes.
Parmi les nouveautés, le Salon des arts, artisans et produits du terroir a connu un succès plus qu'espéré pour sa première présentation, a noté le président Alain Proulx qui s'attend en 2014 à accueillir plus que les 36 kiosques présents cette année.
M. Proulx a confirmé que le festival sera de retour l'an prochain durant la fin de semaine de l'Action de Grâces. L'essai de présenter le festival plus tard en octobre n'a pas connu le succès escompté. Pour cette 42e présentation, le comité a pu compter sur un président d'honneur en la personne du comédien Paul Dion qui est originaire de Montmagny. Ce dernier était présent samedi et dimanche matin et en a aussi profité pour assister à la pièce Chanson d'Éternité du Théâtre des Deux Masques à la salle François-Prévost. Ce dernier a été estomaqué par la qualité de la pièce et de ses comédiens, a raconté Alain Proulx.
Même si le festival est un succès de foule, il reste maintenant à connaître les résultats financiers de l'événement qui font souvent foi de tout. «Si on fait un dollar de profit je serai content», a dit M. Proulx pour démontrer son intention de remettre le festival sur la bonne voie financière.
Le budget du Festival s'élevait cette année à un peu plus de 160 000$. Lors du 41e Festival, on avait enregistré un déficit de 13 000$ alors que le manque à gagner était de 28 000$ pour le 40e.
Même si l'événement n'a plus l'ampleur et la portée de ses belles années, le 42e Festival de l'oie blanche de Montmagny, version amincie qui se tenait du 10 au 14 octobre dernier, a connu un bon succès qui fait espérer à son président M. Alain Proulx, que les profits seront au rendez-vous cette année. M. Proulx estimait à plus de 20 000 le nombre de visiteurs qui ont pris part aux différentes activités du festival lors du long congé de l'Action de Grâces.
En entrevue quelques minutes avant les cérémonies de clôture lundi, le président du festival s'est dit très satisfait de la réponse du public les vendredi et samedi soirs, où on a fait salle comble pour le retour de la Défoule-t-oie, le souper patrons-employés et le spectacle de Cayouche. Autre salle comble, le dimanche après-midi les familles étaient au rendez-vous pour Arthur l'Aventurier et la parade des mascottes.
Parmi les nouveautés, le Salon des arts, artisans et produits du terroir a connu un succès plus qu'espéré pour sa première présentation, a noté le président Alain Proulx qui s'attend en 2014 à accueillir plus que les 36 kiosques présents cette année.
M. Proulx a confirmé que le festival sera de retour l'an prochain durant la fin de semaine de l'Action de Grâces. L'essai de présenter le festival plus tard en octobre n'a pas connu le succès escompté. Pour cette 42e présentation, le comité a pu compter sur un président d'honneur en la personne du comédien Paul Dion qui est originaire de Montmagny. Ce dernier était présent samedi et dimanche matin et en a aussi profité pour assister à la pièce Chanson d'Éternité du Théâtre des Deux Masques à la salle François-Prévost. Ce dernier a été estomaqué par la qualité de la pièce et de ses comédiens, a raconté Alain Proulx.
Même si le festival est un succès de foule, il reste maintenant à connaître les résultats financiers de l'événement qui font souvent foi de tout. «Si on fait un dollar de profit je serai content», a dit M. Proulx pour démontrer son intention de remettre le festival sur la bonne voie financière.
Le budget du Festival s'élevait cette année à un peu plus de 160 000$. Lors du 41e Festival, on avait enregistré un déficit de 13 000$ alors que le manque à gagner était de 28 000$ pour le 40e.
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