Michel Chassé - L'Oie blanche
Dix personnes du Kamouraska, soit des agents de développement de certaines municipalités et le président du comité de développement de Saint-Pacôme, ont participé à l'Université rurale québécoise qui se déroulait du 9 au 13 septembre en Estrie sous le thème «Pour en finir avec les crises: des clés pour sortir ou contourner». S'inscrivant dans le plan de formation du Pacte rural du Kamouraska, cette activité proposait une programmation reposant sur divers enjeux de développement: les régions rurales doivent-elles... Miser sur les jeunes, Miser sur les ressources naturelles, Miser sur l'environnement, Miser sur la mobilisation et l'implication des communautés locales, Miser sur l'entrepreneuriat local, Miser sur le patrimoine? Parmi les universitaires présents, Mme Myriam Simard, professeure à l'Institut national de la recherche de l'Université du Québec, a donné une conférence intitulée «La séduction au quotidien d'une municipalité pour attirer et déjouer la dévitalisation de nos milieux». Mme Julie-Christine Hélas, agente de développement à Saint-Gabriel-Lalemant, a constaté que d'autres personnes au Québec vivaient les mêmes situations. À l'avant, on aperçoit Yvonne Tremblay, Julie-Christine Hélas, Julie-St-Pierre, Thérèse Brodeur, Marie-Pier Brault et Marie-Ève Arbour. À l'arrière, on reconnaît René Beauséjour, Benoît Randall, Réjean Pelletier et Sébastien Tirman.