Depuis peu, le chef du Parti libéral du Québec en l?occurrence Jean Charest tente sa bonne vieille tactique de fin renard pour définir Legault et son mouvement.
En effet, Charest applique de plus en plus la ritournelle à l?effet que Legault serait un souverainiste et que sa coalition en serait une de péquistes déguisés et que les propositions de la Coalition pour l?avenir du Québec feraient très mal aux Québécois.
Il n?est certes pas à sa première définition de ce genre, puisque Charest avait très bien réussi à définir péjorativement Mario Dumont en le traitant de girouette, chose que ce dernier n?était pas d?ailleurs.
Évidemment, nous ne pouvons qu?être en accord avec l?ancien ministre des Affaires étrangères du Canada, l?honorable Lawrence Cannon, qui stipulait que Jean Charest est le meilleur politicien de sa génération.
Il est vrai qu?il est le meilleur, si bien entendu être le meilleur signifie d?endormir, de leurrer et de charmer la population. Eh bien oui, Jean Charest est alors le meilleur politicien de sa génération!
Évidemment, tout est une question de relativité.
Par contre, si nous analysons la situation plus profondément, nous pouvons voir clairement la stratégie de manipulation de l?opinion publique que les dirigeants rouges de l?immobilisme assoiffés de pouvoir tentent d?imposer.
Ils chercheront bien entendu à faire peur aux gens en disant à qui veut l?entendre que Legault est un souverainiste, ce qui aura pour but de ramener à l?avant-scène le débat traditionnel d?opposition entre souverainistes et fédéralistes. Un débat qui amène la bonne vieille alternance du pouvoir et qui met en opposition les Québécois les uns contre les autres.
Quoiqu?il en soit, le constat reste le même : les Québécois désirent du changement. D?ailleurs, Jean Charest n?a pas de leçons à donner à personne, car rappelons-nous sur quoi ce conteur de fables s?est fait élire en 2003, la fameuse réingénierie de l?État? Un terme trouvé par leurs spécialistes en communication et image, qui était en vérité un leurre vide de sens?
François Legault a le vent dans les voiles et représente pour les Québécois la meilleure alternative sur le terrain politique présentement. Il est évident qu?il ne peut plaire à tout le monde et qu?il ne représente peut-être pas ce que les gens de droite veulent entendre.
Mais existe-t-il une autre alternative? Même l?ADQ n?est pas assez à droite pour certains. De toute manière, la fusion entre l?Action démocratique du Québec et la Coalition pour l?avenir du Québec est essentielle pour maximiser les gains lors du prochain scrutin provincial. Avec cette union, Legault pourrait être reconnu à l?Assemblée nationale et aurait déjà dans ses rangs quatre à six députés, aurait l?opportunité sans contestation de se présenter au futur débat des chefs, et bénéficierait des redevances d?Élection Québec de la dernière élection qui devait revenir à l?ADQ.
Quant au parti de Gérard Deltell et à son équipe, ils ne pourront pas se battre sur le même terrain que Legault car ils tomberont face à la vague qui s?en vient, et ne feront qu?augmenter les chances d?avoir un gouvernement minoritaire. Ceci étant dit, s?ils ne veulent pas s?éteindre, ils devront s?unir au mouvement Legault, sans quoi ils disparaîtront de l?arène politique québécoise.
Évidemment, nous ne pouvons qu?être en accord avec l?ancien ministre des Affaires étrangères du Canada, l?honorable Lawrence Cannon, qui stipulait que Jean Charest est le meilleur politicien de sa génération.
Il est vrai qu?il est le meilleur, si bien entendu être le meilleur signifie d?endormir, de leurrer et de charmer la population. Eh bien oui, Jean Charest est alors le meilleur politicien de sa génération!
Évidemment, tout est une question de relativité.
Par contre, si nous analysons la situation plus profondément, nous pouvons voir clairement la stratégie de manipulation de l?opinion publique que les dirigeants rouges de l?immobilisme assoiffés de pouvoir tentent d?imposer.
Ils chercheront bien entendu à faire peur aux gens en disant à qui veut l?entendre que Legault est un souverainiste, ce qui aura pour but de ramener à l?avant-scène le débat traditionnel d?opposition entre souverainistes et fédéralistes. Un débat qui amène la bonne vieille alternance du pouvoir et qui met en opposition les Québécois les uns contre les autres.
Quoiqu?il en soit, le constat reste le même : les Québécois désirent du changement. D?ailleurs, Jean Charest n?a pas de leçons à donner à personne, car rappelons-nous sur quoi ce conteur de fables s?est fait élire en 2003, la fameuse réingénierie de l?État? Un terme trouvé par leurs spécialistes en communication et image, qui était en vérité un leurre vide de sens?
François Legault a le vent dans les voiles et représente pour les Québécois la meilleure alternative sur le terrain politique présentement. Il est évident qu?il ne peut plaire à tout le monde et qu?il ne représente peut-être pas ce que les gens de droite veulent entendre.
Mais existe-t-il une autre alternative? Même l?ADQ n?est pas assez à droite pour certains. De toute manière, la fusion entre l?Action démocratique du Québec et la Coalition pour l?avenir du Québec est essentielle pour maximiser les gains lors du prochain scrutin provincial. Avec cette union, Legault pourrait être reconnu à l?Assemblée nationale et aurait déjà dans ses rangs quatre à six députés, aurait l?opportunité sans contestation de se présenter au futur débat des chefs, et bénéficierait des redevances d?Élection Québec de la dernière élection qui devait revenir à l?ADQ.
Quant au parti de Gérard Deltell et à son équipe, ils ne pourront pas se battre sur le même terrain que Legault car ils tomberont face à la vague qui s?en vient, et ne feront qu?augmenter les chances d?avoir un gouvernement minoritaire. Ceci étant dit, s?ils ne veulent pas s?éteindre, ils devront s?unir au mouvement Legault, sans quoi ils disparaîtront de l?arène politique québécoise.
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