L?Oie Blanche objective et visionnaire !Le promoteur de la Goélette de Grosse-Île à l?honneur !
Ces dernières années alors que les autres medias craignaient de parler du projet de la Goélette de Grosse-île par crainte de représailles de je ne sais quelle autorité, L?Oie Blanche ouvrait ses pages à Didier Épars pour qu?il présente son projet de restauration et de réhabilitation de la Goélette de Grosse -île sur le Saint-Laurent.
Vendredi dernier à L?Auberge Saint-Antoine à Québec, le Conseil des monuments et sites du Québec, devenu Action Patrimoine, remettait des certificats d?honneurs à des personnalités qui se sont démarquées au cours de leur vie pour la défense du patrimoine.
Mme France Gagnon Pratt a été, entre autres, primée pour sa dévotion à la sauvegarde et la mise en valeur de la maison Henry Stuart à Québec. Mais aussi Didier Épars pour s?être consacré remarquablement à la défense du patrimoine maritime québécois. Action Patrimoine a parlé de Didier Épars comme d?un passeur de connaissance et de la goélette comme d?une ambassadrice fluviale. Didier Épars lors de la cérémonie a souligné que son projet de restauration de la plus vieille goélette au Canada ( et la seule homologuée pour la navigation en 2012 ) est aussi le moyen de développer des territoire côtiers. Avis donc aux décideurs touristiques de la région !
M. Dussault ancien directeur du musée maritime de L?Islet, présent à la remise des prix, ne manque pas d?éloge à l?égard de Didier Épars. Il se dit sûr de la valeur de son projet ( voir www.oieblanc.com). On est loin de l?entrevue réalisée par L?Oie Blanche, il y a quelques mois, où la ministre de la culture, Christine Saint-Pierre, refusait d?entendre le nom, Goélette de Grosse-Île, dans son bureau !
Le vent aurait-il tourné ! J?apprenais vendredi que l?organisme de valorisation des monuments et sites du Québec qui a remis le prix honorifique au promoteur de la restauration de la goélette est financé en partie par le Ministère de la Culture et en partie par une fondation dont le plus grand donateur est la famille Desmarais par l?intermédiaire de Power Corporation.
Dans la région ceux qui ont levé le nez sur la goélette devront peut-être faire un mea culpa et prendre le bateau pendant qu?il passe pour ne pas rester à quai !
L?Oie Blanche loin d?être le ``caniche`` des politiciens comme d?autres médias s?y emploient, préfère écouter les citoyens au risque de se tromper parfois. Toutefois la moyenne au bâton n?est pas si mal. Après avoir poussé sur la création des presses du fleuve il y a quelques années, il en résulte que malgré la guerre féroce dans le monde de l?imprimerie de journaux cette compagnie opère encore sept ans après et emploie une trentaine de personnes dans la région. L?Oie Blanche a su plus récemment écouter les attentes des avocats qui souhaitaient voir se régler l?épineux dossier du Palais de justice qui traînait depuis 2008. Notre rôle était d?en parler. La rénovation du palais de justice est annoncée, nous pouvons dire mission accomplie !