Confrontés à cette question, les gens découvrent qu'ils ne se l'étaient jamais posée. Pourtant, des penseurs grecs aux astrophysiciens contemporains, "l'énigme de l'obscurité " ou "paradoxe de Chéseaux-Olbers " a été soumise à de maintes reprises.
Cette question a fait l?objet de bien des débats. La réponse la plus simple donnée est : il n?y a pas assez de lumière pour éclairer cette immensité.
Le jeu de cartes autour de l?institut qui n?a plus de nom (ex-Hubert Reeves) ressemble à l?univers, avec sa nébuleuse du crabe, ses naines brunes, son vide interstellaire qui est actuellement à l?image de la belle province.
(Hubert Reeves vient d?être pris dans une tourmente dangereuse pour sa probité, et sa réponse est :
COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Ayant pris connaissance d?articles et de rumeurs insistantes mettant en cause l?Institut Hubert Reeves, je ne puis plus longtemps laisser mon nom associé à cet organisme. Cette décision est sans appel. Hubert Reeves)
Nous retrouvons ici, un beau saucissonnage propre au gouvernement actuel. Là où il y a une intention noble, louable et intelligente, un projet d?une qualité exceptionnelle, l?hommerie la plus surprenante en dirige les principes moteurs. On y trouve la manipulation culturelle, par des acteurs qui utilisent le travail patient d?un homme sur la documentation du cratère de Charlevoix. Ce beau travail fut peu reconnu à ce non Charlevoisien, Jehan Rondot, géologue responsable de la découverte de l'astroblème de Charlevoix, mais dans les mains locales du président du musée, le voilà en pleine valeur.
Nous allons en faire un institut dédié à l?astroblème. À Saint-Joseph-de-la-Rive, la directrice du musée est une amie proche du respectable astrophysicien. Elle l?embarque et nous voici avec, le principal pour un projet, un porte-parole et un nom hors de tout doute, à l?aura internationale.
Le terrain adjacent au Musée de Saint-Joseph-de-la-Rive, qui se fondra en partie dans l?institut, est nécessaire à la réalisation du nouveau projet. Le terrain appartient à la famille du président. Cela lui donne subitement une plus value, stratagème connu des promoteurs. Avoir un terrain qui ne vaut rien, c?est bien? Lui greffer un projet à haute valeur ajoutée, c?est mieux.
Jusque-là on est dans la poutine habituelle, que j?ai proposé de réglementer (sans succès) dans la loi 82? Tanné que le peuple paie toujours aux riches, la plus value qu?ils ont financée via leurs taxes puis en obtenant un crédit d?impôt, ce qui en double le coût pour le contribuable.
Le musée local s?associe à des gros joueurs. Il a déjà Jean Charest comme président d?honneur pour sa souscription annuelle et M. Genest qui a racheté la collection initiale à l?immigré, pour peu en regard du labeur nécessaire à la collection de la collection.
Viendront se greffer l?agence spatiale canadienne et sa porte-parole, également d?une immense crédibilité, l?astronaute Julie Payette, en plus de quelques respectables chercheurs, le Ministère de la Culture, et là, malaise? Le Ministère des Ressources naturelles et de la Faune, membre aussi du CA qui épaule le président de l?institut qui n?a plus de nom, M. Genest, ancien représentant de l?industrie nucléaire française au Québec et prospecteur minier, acteur dans le plan nord du gouvernement.
La dérive est en marche, on utilise le nom d?Hubert Reeves, on oublie d?en informer l?honorable prête-nom, le projet boite un peu, le terrain donné ne fait pas l?affaire car le projet devient gros. Gros joueurs, gros projet, le musée local est fort marri, lui qui comptait sur cet actif pour sauver son exposition locale à la dérive, par la perte de sa collection due au manque de soins. Le maire des Éboulements sauve l?affaire, en convainquant des promoteurs locaux de faire dons (bis) d?un terrain.
La rumeur gronde. C?en est trop pour l?intégrité de L?Homme, celui qui nous a permis de trouver notre ancêtre commun à tous et à tout, Poussières d?étoiles.
La navigation m?a appris la mécanique céleste, mais lui, il m?a expliqué l?intangible. Il nous a donné une vraie âme cosmique? Tiens, en d?autres temps on en aurait fait une religion, mais les dieux sont déjà là et solidement implantés.
Ah oui... Pourquoi la nuit est-elle noire? C?est qu?il manque de lumière? La Commission Charbonneau est bien pâlotte et travaille main dans la main avec les enquêteurs de l?UPAC, sous la gouverne d?un ministre de la justice qui était ministre de l?Éducation lors de la disparition d?un demi-milliard à l?UQAM. Voici bien des servitudes pour bien du monde.
La commissaire nomme le vérificateur Renaud Lachance comme son adjoint. M. Lachance, lors de son mandat comme vérificateur général, a scruté le manège de l?UQAM et, selon un témoin oculaire, je cite : ?Son rapport définitif est une pâle copie de son rapport préliminaire.?. Il y a eu négociation puis règlement, dans les officines feutrées du pouvoir. Il n?y aura pas de poursuite, selon le recteur Corbo.
La belle province regardée et scrutée par ceux-là mêmes qui ont été nommés, par ceux qui la vident.
En fait, cela confirme, exemple à l?appui, le message que nous avait déjà livré Jacques Duchesneau dans son rapport récent : la corruption a gagné les plus hauts niveaux de l?État et il ne s?agit plus simplement de l?industrie de la construction. Il devrait y avoir, aussi, enquête sur les millions disparus au Musée de Saint-Joseph-de-la-Rive amenant la perte des collections.
Pour le bon peuple comme dans les distances interstellaires, il y a un seuil de chiffres où il n?arrive plus à voir l?ordre de grandeur. Il peut manifester pour une prime de 80 000 $ payée par le parti, mais finit par trouver normale la disparition de milliards. Cela fait froid dans le dos? Un froid interstellaire 2,73 Kelvin soit -270,42 °C.
Les plus lourds engendrent les trous noirs? Aucune lumière ne s?en échappe. En ce moment TVCO Charlevoix enlève du contenu de son site web 2.0. Quand on joue dans les archives, c?est que l?on a l?ordre de réécrire l?histoire. C?est surtout la preuve que nous ne nous appartenons pas. À qui appartenons-nous?
Poussières d?étoiles que nous sommes Malicorne soit qui mal y pense
* C?est l'âge fini de l'Univers, mais également son expansion qui expliquent, en définitive, l'insuffisance énergétique dans le domaine du visible qui rend le ciel sombre et non uniformément lumineux.
Cette question a fait l?objet de bien des débats. La réponse la plus simple donnée est : il n?y a pas assez de lumière pour éclairer cette immensité.
Le jeu de cartes autour de l?institut qui n?a plus de nom (ex-Hubert Reeves) ressemble à l?univers, avec sa nébuleuse du crabe, ses naines brunes, son vide interstellaire qui est actuellement à l?image de la belle province.
(Hubert Reeves vient d?être pris dans une tourmente dangereuse pour sa probité, et sa réponse est :
COMMUNIQUÉ DE PRESSE : Ayant pris connaissance d?articles et de rumeurs insistantes mettant en cause l?Institut Hubert Reeves, je ne puis plus longtemps laisser mon nom associé à cet organisme. Cette décision est sans appel. Hubert Reeves)
Nous retrouvons ici, un beau saucissonnage propre au gouvernement actuel. Là où il y a une intention noble, louable et intelligente, un projet d?une qualité exceptionnelle, l?hommerie la plus surprenante en dirige les principes moteurs. On y trouve la manipulation culturelle, par des acteurs qui utilisent le travail patient d?un homme sur la documentation du cratère de Charlevoix. Ce beau travail fut peu reconnu à ce non Charlevoisien, Jehan Rondot, géologue responsable de la découverte de l'astroblème de Charlevoix, mais dans les mains locales du président du musée, le voilà en pleine valeur.
Nous allons en faire un institut dédié à l?astroblème. À Saint-Joseph-de-la-Rive, la directrice du musée est une amie proche du respectable astrophysicien. Elle l?embarque et nous voici avec, le principal pour un projet, un porte-parole et un nom hors de tout doute, à l?aura internationale.
Le terrain adjacent au Musée de Saint-Joseph-de-la-Rive, qui se fondra en partie dans l?institut, est nécessaire à la réalisation du nouveau projet. Le terrain appartient à la famille du président. Cela lui donne subitement une plus value, stratagème connu des promoteurs. Avoir un terrain qui ne vaut rien, c?est bien? Lui greffer un projet à haute valeur ajoutée, c?est mieux.
Jusque-là on est dans la poutine habituelle, que j?ai proposé de réglementer (sans succès) dans la loi 82? Tanné que le peuple paie toujours aux riches, la plus value qu?ils ont financée via leurs taxes puis en obtenant un crédit d?impôt, ce qui en double le coût pour le contribuable.
Le musée local s?associe à des gros joueurs. Il a déjà Jean Charest comme président d?honneur pour sa souscription annuelle et M. Genest qui a racheté la collection initiale à l?immigré, pour peu en regard du labeur nécessaire à la collection de la collection.
Viendront se greffer l?agence spatiale canadienne et sa porte-parole, également d?une immense crédibilité, l?astronaute Julie Payette, en plus de quelques respectables chercheurs, le Ministère de la Culture, et là, malaise? Le Ministère des Ressources naturelles et de la Faune, membre aussi du CA qui épaule le président de l?institut qui n?a plus de nom, M. Genest, ancien représentant de l?industrie nucléaire française au Québec et prospecteur minier, acteur dans le plan nord du gouvernement.
La dérive est en marche, on utilise le nom d?Hubert Reeves, on oublie d?en informer l?honorable prête-nom, le projet boite un peu, le terrain donné ne fait pas l?affaire car le projet devient gros. Gros joueurs, gros projet, le musée local est fort marri, lui qui comptait sur cet actif pour sauver son exposition locale à la dérive, par la perte de sa collection due au manque de soins. Le maire des Éboulements sauve l?affaire, en convainquant des promoteurs locaux de faire dons (bis) d?un terrain.
La rumeur gronde. C?en est trop pour l?intégrité de L?Homme, celui qui nous a permis de trouver notre ancêtre commun à tous et à tout, Poussières d?étoiles.
La navigation m?a appris la mécanique céleste, mais lui, il m?a expliqué l?intangible. Il nous a donné une vraie âme cosmique? Tiens, en d?autres temps on en aurait fait une religion, mais les dieux sont déjà là et solidement implantés.
Ah oui... Pourquoi la nuit est-elle noire? C?est qu?il manque de lumière? La Commission Charbonneau est bien pâlotte et travaille main dans la main avec les enquêteurs de l?UPAC, sous la gouverne d?un ministre de la justice qui était ministre de l?Éducation lors de la disparition d?un demi-milliard à l?UQAM. Voici bien des servitudes pour bien du monde.
La commissaire nomme le vérificateur Renaud Lachance comme son adjoint. M. Lachance, lors de son mandat comme vérificateur général, a scruté le manège de l?UQAM et, selon un témoin oculaire, je cite : ?Son rapport définitif est une pâle copie de son rapport préliminaire.?. Il y a eu négociation puis règlement, dans les officines feutrées du pouvoir. Il n?y aura pas de poursuite, selon le recteur Corbo.
La belle province regardée et scrutée par ceux-là mêmes qui ont été nommés, par ceux qui la vident.
En fait, cela confirme, exemple à l?appui, le message que nous avait déjà livré Jacques Duchesneau dans son rapport récent : la corruption a gagné les plus hauts niveaux de l?État et il ne s?agit plus simplement de l?industrie de la construction. Il devrait y avoir, aussi, enquête sur les millions disparus au Musée de Saint-Joseph-de-la-Rive amenant la perte des collections.
Pour le bon peuple comme dans les distances interstellaires, il y a un seuil de chiffres où il n?arrive plus à voir l?ordre de grandeur. Il peut manifester pour une prime de 80 000 $ payée par le parti, mais finit par trouver normale la disparition de milliards. Cela fait froid dans le dos? Un froid interstellaire 2,73 Kelvin soit -270,42 °C.
Les plus lourds engendrent les trous noirs? Aucune lumière ne s?en échappe. En ce moment TVCO Charlevoix enlève du contenu de son site web 2.0. Quand on joue dans les archives, c?est que l?on a l?ordre de réécrire l?histoire. C?est surtout la preuve que nous ne nous appartenons pas. À qui appartenons-nous?
Poussières d?étoiles que nous sommes Malicorne soit qui mal y pense
* C?est l'âge fini de l'Univers, mais également son expansion qui expliquent, en définitive, l'insuffisance énergétique dans le domaine du visible qui rend le ciel sombre et non uniformément lumineux.
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