Le député François Lapointe a dééposé à la Chambre des communes un projet de loi sur le financement des recensements des s espèces en péril. Dans la circonscription de M Montmagny-L'IsletKamouraska-Rivière-du-Loup de te els recensements se font pour des oiseaux mmigrateurs et des mammifères marins.
Ce projet de loi, portant le numéro o C-426, vise à imposer un délai de rigueur po our le financement des recensements des espèces en p péril. Actuellement, il arrive que des organismess de protection de la nature, qui doivent procéder àà de tels recensements, n'aient pas les resso ources financières adéquates lorsque les espèces à rec censer sont sur le territoire canadien.
M. Lapointe déplore le fait que des s organisations à but non lucratif soient obligée es de faire appel à des emprunts pour assurer l'engage ement des spécialistes nécessaires pour mener les recensements. Le projet de loi propose donc le ve ersement des subventions trente jours avant l''arrivée présumée des espèces qu'il faut recenser.
«Le recensement des espèces en péril est une responsabilité du gouvernemen nt canadien. Pour connaître le taux de reproduction ddes espèces en péril, il faut les compter métho odiquement. C'est en prenant connaissance de la progression ou de la régression des espèces viséées que l'on peut déterminer si de nouvelles mesurrees de protection sont nécessaires. Les spécia alistes qui font ce travail d'inventaire méritent le resp pect du gouvernement. Les subventions nécessaaires pour faire ce travail doivent être versées au mom ment adéquat. » a déclaré François Lapointe.
Ce projet de loi, portant le numéro o C-426, vise à imposer un délai de rigueur po our le financement des recensements des espèces en p péril. Actuellement, il arrive que des organismess de protection de la nature, qui doivent procéder àà de tels recensements, n'aient pas les resso ources financières adéquates lorsque les espèces à rec censer sont sur le territoire canadien.
M. Lapointe déplore le fait que des s organisations à but non lucratif soient obligée es de faire appel à des emprunts pour assurer l'engage ement des spécialistes nécessaires pour mener les recensements. Le projet de loi propose donc le ve ersement des subventions trente jours avant l''arrivée présumée des espèces qu'il faut recenser.
«Le recensement des espèces en péril est une responsabilité du gouvernemen nt canadien. Pour connaître le taux de reproduction ddes espèces en péril, il faut les compter métho odiquement. C'est en prenant connaissance de la progression ou de la régression des espèces viséées que l'on peut déterminer si de nouvelles mesurrees de protection sont nécessaires. Les spécia alistes qui font ce travail d'inventaire méritent le resp pect du gouvernement. Les subventions nécessaaires pour faire ce travail doivent être versées au mom ment adéquat. » a déclaré François Lapointe.
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Informations : Gaétan Nadeau 418--234-5823Commentaires