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(Vidéo, communiqué, statistiques) Implantation du projet « Ensemble on D-Tox phase II » dans les MRC de L'Islet et Montmagny



Action Jeunesse Côte-Sud Organisme de justice alternative

75, rue St-Gérard, Saint-Damien (Québec) G0R 2Y0 Tél. : 418-789-1370 Courriel : [email protected] www.jeunessecs.com



COMMUNIQUÉ DE PRESSE Pour diffusion immédiate Montmagny, le 9 février - Monsieur Robert Guay, président du conseil d'administration d'Action Jeunesse Côte-Sud, est heureux d'annoncer l'implantation du projet « Ensemble on D-Tox phase II » dans les MRC de L'Islet et Montmagny. Ce projet qui a vu le jour il y a 5 ans dans la MRC de Montmagny, vise à prévenir la consommation abusive de drogues chez les jeunes de 10 à 17 ans.

Cette implantation d'une nouvelle phase est rendue possible grâce à une subvention de 450 000$ de Santé Canada dans via le fond des initiatives communautaire de la stratégie anti-drogue. À cela s'ajoute une contribution des partenaires locaux (Écoles secondaires, Maison des Jeunes, CSSS, et autres organismes communautaires) pour une valeur en ressources humaines et matérielles de plus de 200 000$.

Ce projet a été lauréat deux années consécutives au Gala des prix d'excellence du réseau de la Santé, des Services Sociaux et communautaire en Chaudière-Appalaches et a reçu la mention « coup de cœur » du jury. Le programme Ensemble On D-Tox a fait l'objet d'une évaluation en 2008 par la Direction de la Santé publique de l'Agence de santé et services sociaux de Chaudière-Appalaches :

« Après 19 mois d'opération, le projet a mené à terme les activités prévues à son calendrier. Globalement, au regard des activités réalisées, la participation du milieu est bonne, les partenaires sollicités s'impliquent directement dans les activités ou indirectement en faisant sa promotion. De plus, de nouveaux partenaires interpellent Ensemble, on D-Tox. Ce dernier aspect pourrait témoigner d'une nouvelle réciprocité entre les partenaires. Tout comme pour l'année dernière, des limites ont été rencontrées, lors de la réalisation de certaines activités, mais elles ont été bien documentées, ce qui permettra de les contourner lorsque les activités seront reprises ou, alors, celles-ci seront changées pour d'autres. Ces modifications sont appuyées par les bilans et les mesures d'évaluation.1 »

Cette nouvelle phase du projet prévoit aussi une évaluation complète, à la fois du programme de par la révision des ateliers que par un pré-test et un post-test qui seront jumelés à un portrait de la consommation qui seront administrés à un échantillon de jeune représentatif afin de mesurer en partie l'impact du projet sur les habitudes de consommation des jeunes du territoire.

Le travail simultané sur les 4 axes d'intervention : le jeune, ses parents, la communauté et les différents intervenants qui gravitent autour de la jeunesse, permet de travailler à diffuser un message cohérent et continu en matière de prévention de la consommation abusive de drogues. C'est la clé du succès de notre programme.

Au niveau des jeunes, Ensemble on D-tox phase II reprends la formule d'ateliers de prévention en classe pour les niveaux secondaire 1 à 5 et cheminement particulier. L'offre de service a été faite aux 4 écoles secondaires du territoire de Montmagny-L' Islet, soit Louis-Jacques-Casault, St-Paul, Bon Pasteur et La Rencontre. Nous travaillons à l'implantation dans les 4 écoles. Le projet prévoit aussi l'ajout d'ateliers pour les jeunes du primaire en 5ème et 6ème année, car le passage du primaire au secondaire est le moment reconnu crucial par les experts pour la prévention au niveau des dépendancesi. Le travail de milieu reprendra sous la supervision des maisons des jeunes qui développeront aussi d'autres projets en lien avec le projet comme des capsules d'information destinées à la population, la promotion d'alternatives à la consommation et des actions visant le développement des habiletés sociales.

Au niveau des parents, les rencontres d'information intitulées «l'Adolescence, toute une aventure!» dont les thèmes sont : l'adolescence, les drogues, la communication et la résolution de conflit seront offertes aux parents de jeunes âgés entre 9 et 17 ans. Nous sommes également à chercher des façons novatrices de rejoindre les parents... à suivre.

Au niveau de la communauté, des napperons seront distribués dans plusieurs restaurants de la région à l'automne afin de donner des informations sur les drogues. Des actions en lien avec les nombreux festivals seront chapeautées par les maisons de jeune du territoire.

Au niveau du continuum de service, les différents partenaires qui gravitent autour de la jeunesse ont été invités à former un comité dans le but de se concerter en lien avec la prévention des toxicomanies, d'augmenter les activités préventives en partenariat ainsi que d'éviter les dédoublements. Différentes formations leurs seront offertes de même que des outils qui seront développés tout au long du projet. Le plus grand défi de cette nouvelle phase sera d'en assurer la pérennité. Nous savons tous que le programme est bon, maintenant, comment pouvons-nous le faire vivre à long terme. Le comité dc suivi aura la responsabilité de se pencher sur cette question pour les trois prochaines années.

Bref, « Ensemble on D-Tox phase II » désire favoriser l'implication de tous dans la prévention de la consommation abusive de drogues. La prévention des drogues, faites partie de l'action! -30-

Source : Annie Fréchette, Coordonnatrice « Ensemble on D-Tox  Marie-Pierre Lizotte 418-248-1001 poste 4786 418-248-1001 poste 7728 [email protected]  

 

 

 

Résumé du projet

 

Ensemble, on D-Tox, phase II s'inscrit en continuité avec un projet qui a été financé par le FICSA de 2005-2008, Ensemble, on D-Tox. Nous avons choisi de conserver le même titre de projet, considérant que le logo du projet est bien connu par les jeunes, les partenaires et la communauté. Cela nous permettra une économie de temps lors de l'implantation du projet. Donc, notre nouveau projet vise à approfondir certaines actions amorcées dans le cadre du projet précédent ainsi qu'à mettre sur pied de nouvelles actions afin de rejoindre la clientèle des écoles primaires. Pour ce faire, nous procéderons à une recension des écrits en lien avec les programmes efficaces en prévention des dépendances pour les élèves de 10-12 ans. Avec la collaboration de l'Agence de Santé et Services sociaux de Chaudières-Appalaches, nous examinerons différents programmes existants afin de choisir celui qui respecte les nouvelles orientations de la santé publique quant à la prévention des dépendances.

 

Ensemble, on D-Tox, phase II vise à prévenir la consommation abusive de drogues illicites chez les jeunes de 10-18 ans des MRC de Montmagny et L'Islet. Il présente plusieurs objectifs spécifiques qui visent plusieurs clientèles. Notre projet vise à développer les habiletés sociales chez les jeunes 10-18 ans permettant ainsi de renforcer leurs facteurs de protection. Il vise aussi à augmenter les connaissances des jeunes 12-18 ans en lien avec les drogues illicites plus particulièrement le cannabis et les drogues de synthèse. Les jeunes seront aussi invités à connaître et à mettre en pratique des alternatives à la consommation de drogues illicites. En ce qui concerne les familles de ces jeunes, nous visons à augmenter leurs connaissances en lien avec les drogues illicites, à développer leurs compétences parentales, mais aussi à identifier des moyens afin de les impliquer dans la prévention des toxicomanies. Pour ce qui est de la communauté en général, nous visons à augmenter ses connaissances en lien avec la prévention de la consommation de drogues illicites, mais aussi à l'impliquer dans différentes activités de prévention. En terminant, nous visons à outiller les différents intervenants afin qu'ils puissent mieux prévenir la consommation de drogues. Nous souhaitons aussi augmenter leur participation dans les différentes activités préventives.

 

Plusieurs moyens novateurs seront utilisés pour l'atteinte de nos objectifs. Tout d'abord, nous embaucherons deux coordonnateurs, un pour chaque MRC. Ces derniers auront un volet de coordination des différentes activités et partenariats, mais aussi d'intervention dans les écoles. De plus, différents animateurs de milieux seront sous la supervision des trois Maisons des Jeunes du territoire et se concentreront à la prévention des toxicomanies. Les diverses activités de formation entre autres avec le Centre de réadaptation alcoolisme et toxicomanie de Chaudière-Appalaches (CRATCA), l'Association des intervenants en toxicomanie du Québec nous permettront d'être mieux outillés pour la réalisation de nos différentes activités.

 

Ce projet permettra aux jeunes 12-18 ans d'avoir une meilleure connaissance des drogues illicites et de leurs conséquences néfastes. Les jeunes auront aussi renforcé leurs facteurs de protection tels que : l'affirmation de soi, la résistance aux pressions, l'estime de soi, la résolution de problèmes, etc. Ils seront davantage impliqués dans leur municipalité via leur participation aux comités de jeunes. Les parents auront amélioré leurs compétences parentales, ce qui leur permettra de mieux soutenir leur adolescent. La communauté sera davantage impliquée dans la prévention de la consommation des drogues et connaîtra mieux le rôle qu'elle a joué auprès des jeunes. D'où l'adage : « il faut tout un village pour élever un enfant!» En ce qui concerne les intervenants des différents milieux, ils auront développé un langage commun au niveau de la prévention. Le projet permettra de diminuer les actions isolées pour exiger des interventions régionales planifiées et coordonnées. De plus, les intervenants des différents milieux se sentiront mieux outillés pour prévenir la consommation abusive de drogues illicites.

 

 

Afin d'évaluer les actions de notre projet, nous solliciterons l'Agence de Santé et des Services sociaux de Chaudière-Appalaches. Un comité de suivi du projet sera aussi formé afin de s'assurer de la réalisation du plan d'action, mais aussi d'évaluer les différentes activités. Les bilans d'activités seront diffusés à l'ensemble des partenaires. De plus, nos actions seront inscrites dans le rapport annuel d'Action Jeunesse Côte-Sud qui est diffusé à plus de 250 personnes chaque année. La promotion de nos actions ainsi que leur bilan seront aussi disponibles via les sites Internet des différents partenaires. Nous interpellerons aussi les différents médias locaux et régionaux via des conférences de presse et communiqués de presse afin de les informer du déroulement du projet, mais aussi de l'atteinte de ses objectifs. De plus, à la fin du projet, nous souhaitons offrir une formation aux intervenants des autres écoles qui ne sont pas visées par le projet afin de leur faire partager l'expertise que nous aurons développée.

 

Afin d'assurer la pérennité du projet, nous allons faire une trousse d'implantation incluant l'ensemble des activités du projet. Les écoles et organismes intéressés pourront se la procurer via une formation donnée par Action Jeunesse Côte-Sud. Tout au long du projet, Action Jeunesse Côte-Sud interpellera l'Équipe Jeunesse Famille afin d'assurer la poursuite des actions préventives dans les écoles primaires à la fin du projet. De plus, le fait d'avoir consolidé nos ateliers pour les écoles secondaires et d'avoir identifié un porteur de projet nous aura permis d'établir des ententes claires avec les partenaires du milieu scolaire.

Quelques statistiques sur la consommation de drogues et d'alcool

Au Québec

Alcool 10-17 ans
  • 60,4 % des répondants ont déclaré avoir consommé de l'alcool au moins une fois au cours des douze derniers mois La consommation d'alcool dans la dernière année est nettement plus élevée chez les élèves de secondaire V par rapport aux élèves de secondaire I (89 % vs 26 %).
 
  • Les données de 2006 révèlent que 14,5 % des élèves du secondaire sont des consommateurs réguliers, c'est-à-dire qu'ils consomment la fin de semaine ou plusieurs fois dans la semaine sans pour autant consommer tous les jours. l'âge moyen du début de la consommation régulière d'alcool est de 14,2 ans.
 
  • Le boire excessif, défini comme le fait d'avoir bu cinq consommations ou plus en une même occasion au moins une fois au cours d'une période de douze mois, a été expérimenté par 40 % de l'ensemble des répondants en 2006.
 
  • La prévalence rapportée d'enfants du primaire qui ont déjà consommé de l'alcool (45,5 %) est particulièrement surprenante. Ces enfants avaient été initiés à l'alcool en moyenne à 9,2 ans. Soulignons que 4 % des enfants de cet échantillon ont rapporté s'être déjà soûlés.
 

Cannabis et autres substances 10-17 ans
  • 1,3 % des enfants de 5e et 6e ont déjà consommé du cannabis. L'âge moyen d'initiation est de 10,7 ans.

 


  • En 2006, 30,2 % des répondants (ce qui représenterait plus de 142 000 élèves au Québec) rapportaient avoir consommé une substance autre que l'alcool au moins une fois sur une période douze mois. Cette proportion s'élève à 50,9 % chez les élèves de secondaire V.

 


  • L'âge moyen d'initiation à la consommation d'une substance autre que l'alcool est de 13,2 ans. (secondaire 3)

 


  • Le cannabis est la drogue la plus souvent consommée avec une proportion de 29,4 % d'utilisateurs en 2006. c'est plus de la moitié des élèves de secondaire V (50,2 %) qui rapportaient avoir consommé du cannabis dans l'année précédente.

 


  • 8 % de l'ensemble des répondants sont des consommateurs réguliers de cannabis, c'est-à-dire qu'ils en consomment au mois une fois par semaine sur une période d'un mois, et 2,5 % consomment sur une base quotidienne.
 
  • Consommation de cannabis qualifiée d'élevée en 2008 chez les jeunes au Québec :
Secondaire 1 : 2.3% Secondaire 4 : 13.1%

Secondaire 2 : 6.6% Secondaire 5 : 16.6%

Secondaire 3 :10.9%

Amphétamines 10-17 ans
  • En 2006, 9.4% des élèves avaient consommé des amphétamines dans l'année précédente et 17.1% en secondaire 5.

 


  • avec une proportion différentielle selon le sexe : les filles étant plus nombreuses que les garçons à rapporter en avoir consommé (11,1 % vs 7,6 %).

 


  • En ce qui a trait aux hallucinogènes, 8,8 % des répondants rapportent en avoir consommé dans l'année précédente. Cette proportion s'élève à 16,7 % en secondaire V
 

Indices DEP-ADO
  • Selon le DEP-ADO, plus de 40 % des jeunes consommateurs de cannabis du secondaire auraient besoin d'une intervention préventive ou devraient avoir accès à une ressource spécialisée.
 
  • Les indices DEP-ADO pour les jeunes qui consomment des amphétamines ou de la cocaïne sont plutôt alarmants - 79 % des jeunes qui ont consommé des amphétamines (27 % feu jaune et 52 % feu rouge) et 83,5 % des jeunes qui ont consommé de la cocaïne (18,4 % feu jaune et 65,1 % feu rouge) nécessiteraient une intervention.
 
  • Feu rouge : 6.5% des jeunes au Québec en 2006 composé de :
  • 12.1% en sec. 5
  • 9.9% en sec. 4
  • 7.9% en sec. 3
 
  • Feu jaune : 7% des jeunes au Québec en 2006 composé de :
  • 13% en sec.5
  • 9.9% en sec.4
  • 7.6% en sec. 3
 

Alcool 15-24 ans
  • 83,5 % des jeunes québécois de 15 à 24 ans avaient consommé de l'alcool dans l'année précédente. Parmi ceux-ci, 53,2 % l'avaient fait de façon occasionnelle et 30,4 % de façon régulière).

 


  • 27,9 % des répondants québécois âgés entre 15 et 24 ans ont rapporté des épisodes de consommation excessive (définit dans cette étude par le fait d'avoir pris cinq consommations et plus au moins une fois par mois au cours d'une année)

 


  • 5,4 % présentaient un problème de dépendance à l'alcool

  • Plus de 80 % des jeunes de 17 ans et plus de secondaire V ont consommé de l'alcool de façon excessive (cinq consommations et plus dans la même occasion) au moins une fois dans l'année précédente et plus de 40 % l'ont fait à cinq reprises et plus.

 

Cannabis et autres substances 15-24 ans
  • 53,2 % des jeunes québécois ont consommé du cannabis plus d'une fois dans leur vie et 38,9 % l'ont fait dans les douze mois

 


  • plus d'un jeune canadien sur deux (54,5 %) ont consommé du cannabis plus d'une fois au cours de leur vie, 36 % l'ont fait plus d'une fois au cours des douze derniers mois et 8,2 % en prennent généralement tous les jours (Flight, 2007).

 


  • Parmi les consommateurs, 21,4 % en ont pris au moins une fois par semaine et 22,3 % en ont pris tous les jours au cours des trois derniers mois
 
  • Les consommateurs québécois sont aussi plus nombreux que les jeunes canadiens à consommer au moins une fois par semaine (51,8 % vs 43,7 %). Enfin, plus de la moitié des répondants de 15 à 24 ans rapportent avoir obtenu la drogue gratuitement (57,4 %)
 
  • Concernant les autres drogues que les jeunes canadiens déclarent avoir consommées au moins une fois dans leur vie, on retrouve les hallucinogènes (16,4 %), la cocaïne (12,5 %), l'ecstasy (11,9 %), les amphétamines (9,8 %) et les substances inhalées (1,8 %). Moins de 1 % se sont injecté des drogues ou ont consommé de l'héroïne (Flight, 2007). Les taux de consommation de drogues illicites autres que le cannabis au cours de la vie et des douze derniers mois sont plus élevés chez les jeunes de 18-19 ans et chez les jeunes du Québec.
 
  • 24,1 % des jeunes québécois de 15 à 24 ans ont consommé une SPA autre que le cannabis et l'alcool au moins une fois dans leur vie, et 9,9 % en ont pris dans les douze mois précédant l'enquête, notamment la cocaïne, le speed et le PCP/LSD (Kairouz, Boyer et al., 2008).
 
  • Les jeunes québécois de 15 à 24 ans sont plus nombreux que ceux du reste du Canada à avoir consommé du cannabis au cours de leur vie (73,1 % vs 61,4 %) et dans les douze derniers mois (46,1 % vs 37,0 %). Ceux qui en consomment sont aussi plus nombreux à le faire au moins une fois par semaine (51,8 % vs 43,7 %).
 

En Chaudière-Appalaches

En 2001, dans la région de la Chaudière-Appalaches, consommation au cours des douze derniers mois :
  • 85 % des répondants avaient consommé de l'alcool,
  • 47 % du cannabis,

  • 17 % des hallucinogènes,
  • 8,8 % des amphétamines,
  • 6,5 % de la cocaïne
  • 4,4 % d'autres drogues ou des médicaments sans ordonnance,

  • 2,8 % un solvant
  • 1,5 % de l'héroïne

 

Chez les consommateurs d'alcool,


  • 48,5 % consomment occasionnellement (une fois par mois ou moins),
  • 24,5 % consomment régulièrement (plus d'une fois par semaine, mais pas tous les jours)
  • 58 % ont eu une consommation excessive d'alcool
Les garçons sont plus nombreux que les filles à boire de façon excessive (26 % vs 18 %). 4
  • Les jeunes consommateurs de cannabis le font de façon régulière (16,1 %) ou occasionnelle (15,6 %) ou simplement pour expérimenter (9,2 %). Notons que 4,9 % de ceux-ci rapportent avoir consommé du cannabis quotidiennement.
Montmagny -L'Islet

À venir l'an prochain, suite au portrait de la consommation réalisé dans le cadre du projet Ensemble On D-tox phase II.

Ressources consultées
  • Cardin, Jean-François et Dubé, Gaétane, Consommation de cannabis, d'hallucinogènes et d'amphétamines chez les élèves québécois de 3e, 4e et 5e secondaire : portrait et tendances, Institut de la statistique du Québec, Zoom santé, novembre 2008.
 
  • Tableau statistique : Consommation problématique d'alcool et de drogues (indice DEP-ADO) selon l'année d'études et le sexe, élèves du secondaire qui ont consommé, Québec, 2000 à 2006, Institut de la statistique du Québec, mars 2008.
 
  • Tableau statistique : Fréquence de consommation de cannabis chez les jeunes du secondaire selon l'année d'études, Québec, 2008, tiré de l'enquête québécoise sur le tabac, l'alcool, la drogue et le jeu chez les élèves du secondaire, 2008
 
  • Hélène Gagnon, L'usage de substances psychoactives chez les jeunes québécois PORTRAIT ÉPIDÉMIOLOGIQUE, INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC, Juin 2009
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