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Bernard Généreux veut être un développeur, et non un empêcheur

Le candidat conservateur dans la circonscription de Montmagny-L'Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, Bernard Généreux, a voulu préciser mercredi quel rôle il entend jouer comme député fédéral dans les dossiers d'envergure. Avec comme référence le projet pétrolier du port de Gros-Cacouna, monsieur Généreux affirme se distinguer lorsqu'il rappelle le travail du député sortant, François Lapointe.

« Au lieu d'aider un projet à se réaliser, il a préféré s'y opposer! Il a milité contre les retombées et les jobs à Cacouna. Et il s'en est vanté en plus! » a déclaré Bernard Généreux.

Bernard Généreux soutient que son rôle est d'accompagner les intervenants du milieu et d'offrir aux promoteurs une collaboration concertée. Il s'engage aussi à travailler pour que les projets soient acceptables d'un point de vue environnemental et social.

Plus particulièrement pour le port de Gros-Cacouna, Bernard Généreux est convaincu qu'un environnement propice se met en place pour l'identification de projets potentiels pour le port. Il souhaite donc faire équipe avec la Commission régionale du port de Gros-Cacouna, la municipalité ainsi que Transports Canada.

Il veut aussi faire profiter de son expérience en administration portuaire, ayant siégé trois ans au conseil d'administration du Port de Québec. Selon lui, ceci lui a permis de comprendre les rouages de ce secteur d'activité et de rencontrer des acteurs importants dans ce réseau.

« Mon rôle sera d'être là pour développer, et non d'être là pour éloigner les retombées! Je m'engage à être un facilitateur, un rassembleur, un développeur, un entrepreneur. Pas un empêcheur. Et ça, j'en fais un engagement formel! » de conclure monsieur Généreux.

De plus, Bernard Généreux n'a pas été tendre à l'endroit du secrétaire général de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), Serge Cadieux, à la suite de sa visite d'hier à Rivière-du-Loup.

« Trouvez-vous ça normal que les prestations des travailleurs, qui se démènent 40 heures par semaine, soient utilisées pour payer l'avion, l'hôtel, les restaurants de dirigeants qui se promènent à leur frais pour aller faire de la politique partisane aux quatre coins du Québec? » a-t-il conclu.

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