Développement PME (DPME) a présenté, le 15 juin dernier, le bilan de ses interventions faites en 2014-15 lors de son assemblée générale annuelle. L'organisation en a profité pour présenter leurs résultats exemplaires qui s'inscrivent dans les orientations adoptées pour 2014-2017.
DPME veut se positionner comme l'organisation régionale de développement économique de Chaudière-Appalaches qui vise à générer des opportunités d'affaires concrètes pour les entreprises manufacturières de la région.
Dans l'ensemble, en 2014-2015, DPME a rejoint 361 entreprises différentes par ses interventions. Parmi celles-ci, on compte 70 activités de formation et de sensibilisation permettant de rejoindre 821 participants, neuf missions commerciales à l'international totalisant 111 clients, neuf cercles d'échanges et 103 mandats d'accompagnement individuel et personnalisé en entreprise. On compte aussi trois événements majeurs, qui ont rassemblé 259 participants.
Parmi les autres faits saillants de la dernière année, DPME a rafraîchi son identité visuelle après 10 ans d'existance. D'ailleurs, la célébration du 10e anniversaire, qui avait pour thème « 10 ans de passion et de résultats », s'est tenue au Centre de congrès et d'expositions de Lévis le 20 mai dernier.
L'exportation est l'un des moteurs d'intervention principaux de DPME, qui est notamment l'ORPEX (organisme régional de promotion des exportations) pour la région de la Chaudière-Appalaches. C'est pour cette raison qu'en 2014-2015, une nouvelle unité a été créée au sein de DPME, soit DPME International (DPMEI), pour faire davantage rayonner l'ORPEX dont le mandat principal est de permettre aux PME de se démarquer à l'international.
« Le bilan de nos activités dresse un portrait remarquable des efforts qui ont été déployés par notre équipe d'experts pour soutenir la croissance des entreprises manufacturières. De toute évidence, nos interventions ont un impact concret sur l'économie de la région de la Chaudière-Appalaches et j'en suis très fier », a annoncé le directeur général, M. Daniel Voyer.
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