Le 2 novembre prochain, les citoyens auront à élire leur président ou présidente de commission scolaire.
Désormais, ce poste sera soumis au suffrage universel.
L'actuel président Alain Grenier, à la barre de la Commission scolaire de la Côte-du-Sud (CSCS) depuis sept ans, confirme qu'il a l'intention de renouveler son mandat. «Faire découvrir la valeur de notre organisation» constitue la motivation première qui le pousse à poursuivre son engagement.
Son défi: accroître le nombre d'élèves qui se tournent vers la formation professionnelle, «une voie que les parents ne valorisent pas suffisamment», pense M. Grenier.
55 000 électeurs
Au total, 55 000 électeurs répartis dans les 40 villes et villages du territoire seront invités à se présenter aux urnes pour élire celui ou celle qui sera à la tête de la CSCS pendant trois ans.
Pour ce qui concerne les commissaires, les électeurs continueront de voter pour le représentant de leur secteur. Toutefois, leur nombre passera de 19 à 12, soit 1 commissaire en moyenne pour 4600 électeurs, ce qui implique un regroupement plus important de municipalités par secteur. Des luttes sont à prévoir.
Le processus électoral va s'enclencher vers la fin de l'été et le début de l'automne.
En effet, la fermeture des mises en candidature est prévue le 28 septembre.
Désormais, ce poste sera soumis au suffrage universel.
L'actuel président Alain Grenier, à la barre de la Commission scolaire de la Côte-du-Sud (CSCS) depuis sept ans, confirme qu'il a l'intention de renouveler son mandat. «Faire découvrir la valeur de notre organisation» constitue la motivation première qui le pousse à poursuivre son engagement.
Son défi: accroître le nombre d'élèves qui se tournent vers la formation professionnelle, «une voie que les parents ne valorisent pas suffisamment», pense M. Grenier.
55 000 électeurs
Au total, 55 000 électeurs répartis dans les 40 villes et villages du territoire seront invités à se présenter aux urnes pour élire celui ou celle qui sera à la tête de la CSCS pendant trois ans.
Pour ce qui concerne les commissaires, les électeurs continueront de voter pour le représentant de leur secteur. Toutefois, leur nombre passera de 19 à 12, soit 1 commissaire en moyenne pour 4600 électeurs, ce qui implique un regroupement plus important de municipalités par secteur. Des luttes sont à prévoir.
Le processus électoral va s'enclencher vers la fin de l'été et le début de l'automne.
En effet, la fermeture des mises en candidature est prévue le 28 septembre.
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