Émilie Vachon en compagnie des animatrices de la Tournée Opération Enfant Soleil, Josée Lavigueur et Annick Dumontet.
Certaines personnes doivent emprunter des chemins difficiles dans la vie. Elles affrontent la douleur, ou encore l'angoisse et l'incertitude. C'est le cas d'Émilie Vachon, une jeune femme de 21 ans de Lac-Frontière.
Diane Gendron-L'Oie blanche
Bientôt, plus précisément le 7 avril, Émilie partira pour un séjour d'une dizaine de jours à l'Hôpital Notre-Dame de Montréal, afin de passer tous les tests d'évaluation préliminaires à son inscription sur la liste d'attente d'une greffe de poumons.
Émilie souffre d'un déficit en surfactant, une maladie génétique diagnostiquée alors qu'elle avait trois ans. Ses deux parents sont porteurs du gène responsable de cette affection. Suivie depuis son enfance, la jeune femme se portait bien, jusqu'à il y a un an. Sa condition s'est dégradée rapidement, au point où, aujourd'hui, la greffe s'avère nécessaire. Des trois enfants du couple, seule Émile a développé la maladie, précise sa mère, Sylvie Lapointe.
Impliquée
Nous avons rencontré cette fille courageuse, portant son appareil à oxygène, alors qu'elle assistait à la remise de chèque d'Opération Enfant Soleil à l'Hôpital de Montmagny. Émilie Vachon y prenait part à titre de partenaire avec son équipe de Montmagny-Sud dans la mise sur pied d'initiatives destinées à recueillir des fonds pour l'organisme. L'an dernier, le groupe a ramassé près de 3500$ par le biais d'activités variées (bingo cadeaux, souper lasagne, tournoi de balle) qui se sont déroulées à Lac-Frontière, Sainte-Lucie-de-Beauregard et Saint-Fabien-de-Panet.
L'attente
Devant la maladie, Émilie ne baisse pas les bras même si l'essoufflement lui impose des contraintes. Elle avait d'ailleurs de la difficulté à répondre. À cause de son état, elle a dû laisser son emploi, nous confie sa mère. Elle doit avoir de l'oxygène 24 heures sur 24.
Émilie et sa famille auront à traverser une autre période difficile. En moyenne, l'attente pour recevoir une greffe est de 763 jours, soit plus de deux ans, selon les informations divulguées par la mère.
Pour l'instant, le moral d'Émilie tient bon. Elle essaie de demeurer active dans la mesure du possible. Son implication sociale en témoigne.
Diane Gendron-L'Oie blanche
Bientôt, plus précisément le 7 avril, Émilie partira pour un séjour d'une dizaine de jours à l'Hôpital Notre-Dame de Montréal, afin de passer tous les tests d'évaluation préliminaires à son inscription sur la liste d'attente d'une greffe de poumons.
Émilie souffre d'un déficit en surfactant, une maladie génétique diagnostiquée alors qu'elle avait trois ans. Ses deux parents sont porteurs du gène responsable de cette affection. Suivie depuis son enfance, la jeune femme se portait bien, jusqu'à il y a un an. Sa condition s'est dégradée rapidement, au point où, aujourd'hui, la greffe s'avère nécessaire. Des trois enfants du couple, seule Émile a développé la maladie, précise sa mère, Sylvie Lapointe.
Impliquée
Nous avons rencontré cette fille courageuse, portant son appareil à oxygène, alors qu'elle assistait à la remise de chèque d'Opération Enfant Soleil à l'Hôpital de Montmagny. Émilie Vachon y prenait part à titre de partenaire avec son équipe de Montmagny-Sud dans la mise sur pied d'initiatives destinées à recueillir des fonds pour l'organisme. L'an dernier, le groupe a ramassé près de 3500$ par le biais d'activités variées (bingo cadeaux, souper lasagne, tournoi de balle) qui se sont déroulées à Lac-Frontière, Sainte-Lucie-de-Beauregard et Saint-Fabien-de-Panet.
L'attente
Devant la maladie, Émilie ne baisse pas les bras même si l'essoufflement lui impose des contraintes. Elle avait d'ailleurs de la difficulté à répondre. À cause de son état, elle a dû laisser son emploi, nous confie sa mère. Elle doit avoir de l'oxygène 24 heures sur 24.
Émilie et sa famille auront à traverser une autre période difficile. En moyenne, l'attente pour recevoir une greffe est de 763 jours, soit plus de deux ans, selon les informations divulguées par la mère.
Pour l'instant, le moral d'Émilie tient bon. Elle essaie de demeurer active dans la mesure du possible. Son implication sociale en témoigne.
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