Bulletin de nouvelles du jeudi 22 septembre 2016
CMATV vous présente son plus récent bulletin d’informations régionales sur la Côte-du-Sud…
En manchettes
Sport
Mesdames, messieurs bonjour et bienvenue au bulletin régional d’actualités sur CMATV.ca, sur le réseau de télés CMATV, sur Cogeco Câble Haute Définition 555 ainsi que sur le Câble 2 de Saint-Pamphile.
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Les dirigeants de la Caisse Desjardins du Parc régional des Appalaches ont pris la décision de fermer deux centres de services, soit celui de Saint-Apolline-de-Patton et celui de Sainte-Lucie-de-Beauregard. Cette décision découle d’une réflexion entamée au printemps dernier et deviendra effective à compter du 7 octobre prochain.
Dans une lettre à la population de ces municipalités, la Caisse affirme que cette fermeture est due à la basse de l’utilisation des services caissier et au fait que les clients effectuent désormais leurs transactions d’autres façons. Selon les chiffres dévoilés par les dirigeants, environ 94 % des transactions effectuées à la Caisse se font d’un autre moyen que le service caissier.
À Sainte-Lucie-de Beauregard et à Saint-Apolline-de-Patton, les heures d’ouverture du comptoir caissier avaient largement diminué pour se chiffrer à 13 heures par semaine. De plus, ces deux centres n’effectuaient que les opérations les plus courantes.
Le directeur général de la Caisse Desjardins du Parc régional des Appalaches, Jean Lachance, a affirmé que la Caisse allait offrir un accompagnement aux personnes qui veulent se renseigner sur nouvelles technologies et sur les autres manières de procéder. Il mentionne également que personne ne perdra son emploi en raison de la fermeture, alors que les quatre personnes touchées seront réparties à Saint-Fabien-de-Panet et à Saint-Paul-de-Montminy.
Même si elle sentait la chose s’en venir, la mairesse de Saint-Apolline-de-Patton, Karine Nadeau, s’est dit déçue de la fermeture du centre de services de sa municipalité. Pour elle, il s’agit d’une autre preuve que la réalité des petits villages est loin d’être facile. Elle mentionne aussi que ce changement impactera le quotidien des personnes qui ne sont pas à l’aise avec internet, alors qu’elles devront se déplacer à un autre centre de service pour obtenir les services de la Caisse.
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Le 23 septembre prochain, dans le cadre de la grande journée RCGT dans la communauté, près de 800 employés de la compagnie Raymond Chabot Grant Thornton consacreront leur journée de travail à un organisme communautaire de leur région.
Le bureau de Montmagny ne fera pas exception, alors que les employés se réuniront et s’engageront pour la Maison du secours La Frontière de Montmagny, située au 201, rue Saint-Louis. Lors de la journée RCGT dans la communauté, les employés magnymontois consacreront du temps à la réalisation de divers travaux destinés à répondre à des besoins essentiels des plus démunis.
« La Maison du secours La Frontière de Montmagny représente l’occasion parfaite pour Raymond Chabot Grant Thornton et ses employés de faire une différence en posant des gestes qui contribueront au développement et à l’épanouissement de personnes et de familles de notre milieu », a souligné Michel Proulx, vice-président régional.
La Maison du secours La Frontière vient en aide à des personnes dans le besoin, peu importe leur origine, leur sexe, leur âge ou leur religion. En collaboration et en complémentarité avec des organismes du milieu, elle offre des denrées alimentaires, des repas, un hébergement temporaire, des visites supervisées parents-enfant et une relation d’aide de la part d’intervenants spécialisés.
La journée RCGT dans la communauté s’inscrit dans un mouvement mondial de l’organisation internationale de cabinets membres de Grant Thornton International. Ce mouvement à pour objectif de contribuer au développement des collectivités et permettra à 42 000 professionnels de partout dans le monde de consacrer leur journée du 23 septembre au soutien d’une organisation locale.
Il sera possible de suivre le parcours des employés du bureau de Montmagny, mais également de ceux de partout dans le monde, sur les réseaux sociaux en utilisant les mot-clics #ÉquipeRCGT et #GTinthecommunity.
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Le pont couvert de la municipalité de Sainte-Lucie-de-Beauregard est fermé depuis le 17 août dernier, à la suite d’un accident qui a endommagé la structure du pont. Le 6 septembre dernier, les citoyens avaient déposé, lors de la séance du conseil municipal, une pétition en lien avec la réouverture du pont couvert.
Avec cette pétition, les citoyens de Sainte-Lucie-de-Beauregard souhaitent souligner aux autorités concernées l’importance de ce lien pour les citoyens de la région. Ils demandaient qu’une réparation, au moins partielle, soit faite, le plus tôt possible, afin de permettre une réouverture rapide du pont.
Questionné à savoir où était rendu le dossier, le maire de la municipalité, Louis Lachance, nous a mentionné être en attente d’une réponse du ministère des Transports; une réponse qui était censée arriver la semaine dernière. Le maire a également affirmé avoir les mains liées dans ce dossier, puisque le pont est la propriété du ministère des Transports.
Cette fermeture entraine de nombreux problèmes aux résidents, alors qu’il faut faire un détour d’une quinzaine de kilomètres pour se rendre au village, ce qui fait en sorte que le courrier ne sera livré qu’un jour sur deux. De plus, les enfants qui vont à l’école doivent partir plus tôt le matin et reviennent plus tard le soir en raison du détour.
La fermeture touche aussi durement l’industrie touristique et l’industrie acéricole, deux maillons importants de l’économie du village de Sainte-Lucie-de-Beauregard.
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REPORTAGE
Depuis environ trois semaines, Micro-chalets des Appalaches, un nouveau domaine de villégiature, a ouvert ses portes en plein cœur du Parc des Appalaches et met à la disposition des amants de la nature des séjours en pleine nature inoubliable.
Pour le moment, Micro-chalets des Appalaches propose quatre chalets en location, été comme hiver, qui peuvent accueillir de deux à quatre personnes. Ces chalets, qui se situent entre un refuge rustique et un chalet haut de gamme, comprennent, entre autres, l’électricité, un foyer au bois, un réfrigérateur, un four micro-ondes et une cuisinière électrique. Pour ce qui est des services sanitaires, un bloc sanitaire commun a été aménagé.
Marcel Falardeau, président des Micro-Chalets des Appalaches, caressait depuis longtemps l’idée de construire des chalets à vocation touristique sur ses terrains, mais il n’avait pas encore trouvé la formule gagnante.
Monsieur Falardeau, a affirmé que l’entreprise entend construite deux nouveaux chalets l’année prochaine et qu’à long terme, il y aurait un potentiel de créer une vingtaine de chalet sur ses terrains.
Monsieur Falardeau ne se retrouve pas seul dans l’aventure Micro-chalets des Appalaches, alors qu’il est accompagné de sa conjointe Lynda Couette et de ses filles Katia et Caroline, ainsi que de Yannick Beaumont. Ce dernier est un grand passionné de plein air et a toujours voulu investir dans ce genre de projet. Le projet est né alors que monsieur Beaumont a acheté un terrain à monsieur Falardeau et que celui-ci lui a parlé de son idée.
Mentionnons que le projet a nécessité des investissements de 200 000 $ et qu’un emploi a été crée.
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Le 14 septembre dernier, des étudiants et des étudiantes du programme de Sciences humaines du Cégep de La Pocatière sont allés à la découverte de l’Île aux Basques. Cette dernière est située près de la municipalité de Trois-Pistoles. Cette visite se faisait dans le cadre des cours de Géographie du Québec et d’Histoire du Québec.
Même si la plupart des participants sont originaires de la région, il s’agissait d’une première visite de cette île rattachée géomorphologiquement à la rive sud du fleuve Saint-Laurent. Jadis, l’Îles aux Basques a également servi de lieu de convergence humaine lors de l’occupation amérindienne, basque et française.
Tout au long de leur expérience, les élèves étaient encadrés par Jean-Pierre Rioux, gardien de l’Île aux Basque et membre de la Société Provancher d’histoire naturelle du Canada. Ce passionné de l’histoire a permis aux étudiants et aux étudiantes d’apprécier et d’en apprendre davantage sur la richesse historique et géographique de ce site patrimonial naturel et culturel.
À la suite de la visite de l’Île aux Basques, les élèves participants ont savouré un léger gouter à la Fromagerie des Basques pour, par la suite, retourner au Cégep de La Pocatière
Mentionnons que l’Île aux Basques a acquis le statut de refuge d’oiseaux migrateurs, en avril 1927. Elle a, par la suite, été acquise par la Société Provancher, en 1929. Au mois de juillet 2001, elle a reçu le statut de Lieu historique national et, au mois d’août 2005, celui de Réserve naturelle.
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Sport
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Le 20 septembre dernier, une cinquantaine de représentants de divers organismes du Kamouraska ont assisté à une rencontre d’information sur l’organisation de la Finale des Jeux du Québec à l’hiver 2021.
Cette rencontre, qui s’est tenue à l’édifice Claude-Béchard de Saint-Pascal, avait pour but de mobiliser et d’inviter les divers acteurs du milieu kamouraskois à participer à l’organisation des Jeux, qui auront lieu à Rivière-du-Loup, mais dont plusieurs disciplines se tiendront au Kamouraska. « Nous désirons que les gens du Kamouraska se sentent partie prenante de la tenue des Jeux, puisque l’apport du Kamouraska est indéniable pour la tenue de l’événement », a mentionné Marie-Hélène Collin, chargée de projet.
Le préfet de la MRC de Kamouraska a, quant à lui, tenu à souligner l’importance pour les différents acteurs de la région de se mobiliser pour la tenue des Jeux du Québec, d’autant plus que le quart des athlètes sera hébergé dans le Kamouraska et que le tiers des disciplines se tiendra à Saint-Pascal et à La Pocatière.
Mentionnons que la municipalité de Saint-Pascal accueillera probablement les disciplines de la ringuette et du curling au Centre sportif, en plus d’accueillir le judo, l’escrime et un mini-village des athlètes à l’école secondaire Chanoine-Beaudet. La municipalité de La Pocatière devrait, pour sa part, recevoir les compétitions de patinage artistique et de patinage de vitesse.
Le maire de Rivière-du-Loup, Gaétan Gamache, a mentionné que la participation des gens du Kamouraska était très importante, puisque les Jeux du Québec était l’affaire de la région au complet. « C’est l’engouement et la contribution de l’ensemble de la région, incluant le Kamouraska, qui a su convaincre SPORTSQUÉBEC de nous attribuer la Finale des Jeux du Québec à l’hiver 2021 », a affirmé le maire Gaétan Gamache.
Voilà ce qui complète notre bulletin d’actualités pour aujourd’hui…Si vous avez des nouvelles ou de l’information à transmettre au public, vous pouvez le faire en rejoignant la salle des nouvelles de CMATV au 418-241-1313 poste 226, ou vous pouvez nous écrire à [email protected] ou bien tout simplement vous pouvez nous suivre comme des milliers de personnes le font sur la page Facebook de CMATV.CA. Vous êtes à l’antenne de CMATV, le réseau de télévisions le plus regardé et le plus suivi sur la Côte-du-Sud! Voilà, c’est tout pour l’instant…Bonne journée Mesdames et messieurs!