Alco Prévention Canada, une entreprise œuvrant au niveau de la sécurité routière depuis plus de 27 ans, a couvert plusieurs événements de Noël corporatifs en novembre et décembre avec un alcootest commercial. Plus de 25 000 tests ont été effectués.
Les entreprises offraient alors à leurs employés et invités la possibilité de se tester volontairement et sans frais afin d’assurer un retour à la maison sécuritaire.
Les statistiques compilées ont de quoi faire réfléchir. En effet, plus de 38 % des tests effectués démontraient que les gens dépassaient la limite légale de 0,08 % BAC.
Pire encore, plusieurs personnes qui ont testé au-dessus de la limite légale pensaient qu’ils étaient corrects pour conduire avant de passer leur test d’alcool. Sans avoir passé un test d’alcool, ces mêmes personnes auraient pris le volant causant potentiellement un accident ou, encore pire, un décès.
Les entreprises ayant fait appel à ce service ont toutes louangé la pertinence d’un tel outil afin de rendre nos routes encore plus sécuritaires. Il a été démontré que plusieurs invités ont décidé de ne pas prendre le volant suite au résultat affiché par l’alcootest, ce qui est un bénéfice non négligeable.
« Sans un outil de mesure précis et fiable comme un alcootest, les gens pensent souvent qu’ils sont aptes à conduire alors qu’ils ne le sont vraiment pas. Ils ont les facultés affaiblies, donc le jugement affaibli. Les alcootests sont un moyen reconnu mondialement pour prendre de bonnes décisions et favoriser ainsi la sécurité routière » de mentionner Stéphane Maurais, directeur général pour Alco Prévention Canada.
Il existe également sur le marché d’excellents alcootests personnels qui ont donné les mêmes résultats que ceux des policiers, dont le APC 90 qui est un alcootest certifié également par la FDA Américaine et les éthylotests à usage unique vendus dans les SAQ qui sont certifiées par 3 organismes internationaux et utilisés par les corps policiers en France.
« C’est un excellent outil personnel pour prendre une bonne décision ou convaincre un ami », de conclure Stéphane Maurais.