Avec le début des forages à Cacouna sans qu'aucun avis scientifique n'ait été rendu public, le NPD utilisera une procédure parlementaire extraordinaire pour forcer la tenue d'une rencontre d'urgence du comité Pêches et Océans la semaine prochaine.
La rencontre d'urgence visera à appeler à témoigner les spécialistes qui ont donné les autorisations aux forages sous-marins que TransCanada effectue présentement au large de Cacouna.
« Nous avions formulé cette demande la semaine dernière, mais le président du comité l'a rejetée, jugeant qu'il n'y avait pas d'urgence. Avec cette procédure, on lui force la main. Il doit donc absolument convoquer une réunion au plus tard la semaine prochaine », a indiqué le député de Montmagny-L'Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, le néo-démocrate François Lapointe.
Le comité pourrait ainsi étudier en profondeur l'impact de ces travaux sur l'habitat naturel du béluga de Saint-Laurent.
« Il est temps de faire la lumière sur les preuves scientifiques sur lesquelles reposent les autorisations données par le gouvernement conservateur à TransCanada pour forer un milieu marin en pleine saison de reproduction d'une espèce menacée », a conclu le député de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Guy Caron.
La rencontre d'urgence visera à appeler à témoigner les spécialistes qui ont donné les autorisations aux forages sous-marins que TransCanada effectue présentement au large de Cacouna.
« Nous avions formulé cette demande la semaine dernière, mais le président du comité l'a rejetée, jugeant qu'il n'y avait pas d'urgence. Avec cette procédure, on lui force la main. Il doit donc absolument convoquer une réunion au plus tard la semaine prochaine », a indiqué le député de Montmagny-L'Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, le néo-démocrate François Lapointe.
Le comité pourrait ainsi étudier en profondeur l'impact de ces travaux sur l'habitat naturel du béluga de Saint-Laurent.
« Il est temps de faire la lumière sur les preuves scientifiques sur lesquelles reposent les autorisations données par le gouvernement conservateur à TransCanada pour forer un milieu marin en pleine saison de reproduction d'une espèce menacée », a conclu le député de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Guy Caron.
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