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Invitation du Service diocésain de pastorale; visionnement d'un film et échanges autour de questions fondamentales

Le Cinéma Le Scénario (Carrefour La Pocatière), Monseigneur Yvon Joseph Moreau et le personnel du Service diocésain de pastorale vous invitent à la présentation du film L'Heureux Naufrage qui aura lieu le 16 février prochain, à compter de 19 h 30. La projection de ce film sera suivie d'un échange en compagnie de l'évêque de Sainte-Anne, Mgr Moreau qui sera heureux de vous y accueillir et d'échanger avec vous tous autour des sujets traités.

Le film documentaire L'heureux naufrage du cinéaste Guillaume Tremblay, c'est d'abord une idée qui s'est transformée en un espace de réflexion autour de questions fondamentales, souvent évacuées des débats de société ou des discussions de famille. Un peu à la manière d'un anthropologue, Guillaume Tremblay a cherché, sous les décombres du catholicisme, ce qu'il y aurait d'enfoui de beau et de grand, « qui nous aiderait à vivre en tant qu'individu, mais aussi en tant que société. »

À travers le regard de personnalités québécoises et françaises, le film L'heureux naufrage aborde des questions indispensables, jamais explorées de cette manière chez nous. Parmi ceux et celles qui ont accepté de répondre aux questions de Guillaume Tremblay, on retrouve les noms de Denys Arcand, Fred Pellerin, Éric-Emmanuel Schmitt, Denise Bombardier, Pierre Maisonneuve, Bernard Émond, Benoît Lacroix, Stéphane Archambault (du groupe Mes Aïeux) et bien d'autres encore.

« Face au futile et au frivole d'un monde utilitariste, face à l'instantanéité, au prêt-à-porter, L'heureux naufrage interroge les fondements de nos valeurs et de nos croyances ». Le film (qui faisait partie de la Sélection officielle du Festival des films du monde 2014) permet de mettre des mots autour de grandes questions qui nous habitent tous et propose de faire la paix avec notre héritage religieux. Comme le dit le journaliste Pierre Maisonneuve, « nous sommes orphelins de réponses, orphelins de pistes de réflexions...» Pour sa part, Stéphane Archambault note que « du jour au lendemain on a été abandonné et on a arrêté de chercher; on a arrêté de regarder notre vide...Il faut prendre ce vide en main... ».

Alors, si vous cherchez des réponses à ce genre de question et vous avez le goût d'évoquer ce sujet avec d'autres personnes de la région, réservez cet espace à votre agenda.

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