Geneviève Caron
Attachée de presse de M. Jean-Guy Desrosiers
Montmagny, le 24 octobre 2013 - Le 3 novembre prochain, les Magnymontois auront à choisir entre deux visions diamétralement opposées. En fait, ils auront le choix entre une vision et une absence totale de vision. Car pour Jean-Guy Desrosiers, arrêter le développement de la ville, comme le préconisent Lise Vachon et Sébastien Clavet ce n'est pas une vision.
Qui plus est, M. Clavet entend mettre à pied l'équipe de la Société de développement économique et du bureau de communication de la ville, constituée en partie de jeunes diplômés, pour embaucher une firme externe. Couper des postes spécialisés, c'est une façon directe de favoriser l'exode des jeunes. Mme Vachon, elle, veut embaucher un gérant pour l'aréna afin d'y organiser des spectacles. Elle oublie simplement que Montmagny a déjà un diffuseur de spectacles des plus compétents et dynamiques. Et tout cela en coupant au maximum dans les dépenses, quitte à ne réaliser aucun projet et à pelleter dans la cour de la prochaine génération.
Dans le livre du maire sortant, les Magnymontois méritent qu'on développe leur milieu de vie. « J'ai du mal à comprendre pourquoi les autres candidats dénigrent leur ville et les réalisations des dernières années. C'est comme si, dans leur conception, Montmagny était une ville de troisième ordre, une ville qui doit rester morne, figée dans le temps et à l'abri de toute audace. Ne comptez pas sur moi pour défendre cette position », de s'opposer M. Desrosiers. Comment ces deux candidats comptent-ils attirer de nouvelles familles en rabaissant continuellement la ville? Un de leurs outils préférés pour faire passer Montmagny pour une dernière de classe, c'est de lancer des chiffres et de leur faire dire des faussetés.
Selon les données les plus à jour du MAMROT, le fardeau fiscal des Magnymontois est plus bas que celui de plusieurs villes comparables : Roberval, Ste-Marie, Rivière-du-Loup, Baie-Comeau. Et lorsqu'on laisse croire que les commerces magnymontois paient trop cher sur la base d'une étude de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante, on oublie que cette étude est basée sur des projections et non sur des réalités. Par respect pour eux, Jean-Guy Desrosiers met en garde ses concitoyens contre cette poudre aux yeux qui leur est lancée et qui leur fait perdre confiance en leur ville. L'herbe parait toujours plus verte chez le voisin, mais quand on veut verdir notre cours, on commence par y croire.
Jean-Guy Desrosiers croit en Montmagny et souhaite voir la ville continuer à s'épanouir. Le 3 novembre prochain, il propose sa vision : continuer à développer Montmagny pour créer toujours plus de fierté, de richesse et de vitalité.