En effet, le jeune homme de 18 ans de L'Islet a finalement plaidé coupable jeudi dernier au Palais de Justice de Montmagny à l'accusation d'avoir proféré des menaces à l'endroit des adeptes de l'Islam.
Jean-Philippe Normand avait été arrêté à la suite d'une plainte venant de l'animateur et ancien maire de Huntington, Stéphane Gendron.
Rappelons que les propos du jeune Normand étaient en réaction avec les attentats terroristes qu'a connus récemment le pays.
Il avait entre autres pris à son compte, mais en remplaçant les noms, les menaces d'un leader de l'État islamiste en invitant les Canadiens à tuer des musulmans.
C'est en pleurs que Jean-Philippe Normand a admis regretter totalement sa déclaration en avouant qu'il l'avait dite sous l'effet de la colère tout en confirmant qu'il ne pensait pas vraiment ce qu'il avait affirmé.
Ce dernier a été libéré sous diverses conditions, dont celle lui interdisant l'utilisation d'internet.
Il a d'ailleurs été accueilli en dehors de l'enceinte du Palais de Justice par ses parents, visiblement soulagé pour eux de voir leur fils retrouver sa liberté.
Il reviendra donc devant la Cour le 19 janvier prochain afin de connaître sa peine.
Jean-Philippe Normand avait été arrêté à la suite d'une plainte venant de l'animateur et ancien maire de Huntington, Stéphane Gendron.
Rappelons que les propos du jeune Normand étaient en réaction avec les attentats terroristes qu'a connus récemment le pays.
Il avait entre autres pris à son compte, mais en remplaçant les noms, les menaces d'un leader de l'État islamiste en invitant les Canadiens à tuer des musulmans.
C'est en pleurs que Jean-Philippe Normand a admis regretter totalement sa déclaration en avouant qu'il l'avait dite sous l'effet de la colère tout en confirmant qu'il ne pensait pas vraiment ce qu'il avait affirmé.
Ce dernier a été libéré sous diverses conditions, dont celle lui interdisant l'utilisation d'internet.
Il a d'ailleurs été accueilli en dehors de l'enceinte du Palais de Justice par ses parents, visiblement soulagé pour eux de voir leur fils retrouver sa liberté.
Il reviendra donc devant la Cour le 19 janvier prochain afin de connaître sa peine.
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