Les membres du conseil d'administration de la Conférence régionale des élu(e)s (CRÉ) de la Chaudière-Appalaches, réunis jeudi dernier à East Broughton, se sont prononcés unanimement et solidairement en faveur du maintien d'un organisme régional de concertation, de planification et de coordination pour agir sur les dossiers qui concernent l'ensemble de la région.
Évidemment, cette déclaration fait suite aux rumeurs persistantes de disparition de la CRÉ et des CLD au profit des MRC.
Bien que certaines MRC pourraient garder la structure du CLD avec, uniquement, 50 % du budget, cette politique semble inquiéter énormément les acteurs régionaux.
Même l'ancienne Vice-première ministre du Québec sous l'ère Charest, Nathalie Normandeau, dénonce ces mesures, en reprochant au gouvernement Couillard de manquer de vision avec cette politique.« On a l'impression que le gouvernement ne fait vraiment pas confiance aux régions. »
Pour le président de la CRÉ de la région, cette décision lui semble inacceptable. Il se demande maintenant qui va représenter les régions auprès du gouvernement.
« On a besoin dans la Chaudière-Appalaches d'un organisme de concertation fort, capable de nous rassembler et nous représenter auprès du gouvernement du Québec ».
Les membres de la CRÉ demandent donc au gouvernement du Québec d'accorder à un organisme régional de concertation les crédits nécessaires pour lui permettre de remplir sa mission adéquatement et appuyer la mise en uvre de priorités qui sont actuellement considérées par la région.
Rappelons que la CRÉ constitue l'interlocuteur privilégié du gouvernement du Québec en matière de développement régional en Chaudière-Appalaches.
Elle a principalement pour mandat d'encourager le développement régional, de favoriser la concertation des partenaires régionaux, de doter la région d'une vision stratégique et d'orientations de développement socioéconomique et de donner, le cas échéant, des avis au gouvernement.
Évidemment, cette déclaration fait suite aux rumeurs persistantes de disparition de la CRÉ et des CLD au profit des MRC.
Bien que certaines MRC pourraient garder la structure du CLD avec, uniquement, 50 % du budget, cette politique semble inquiéter énormément les acteurs régionaux.
Même l'ancienne Vice-première ministre du Québec sous l'ère Charest, Nathalie Normandeau, dénonce ces mesures, en reprochant au gouvernement Couillard de manquer de vision avec cette politique.« On a l'impression que le gouvernement ne fait vraiment pas confiance aux régions. »
Pour le président de la CRÉ de la région, cette décision lui semble inacceptable. Il se demande maintenant qui va représenter les régions auprès du gouvernement.
« On a besoin dans la Chaudière-Appalaches d'un organisme de concertation fort, capable de nous rassembler et nous représenter auprès du gouvernement du Québec ».
Les membres de la CRÉ demandent donc au gouvernement du Québec d'accorder à un organisme régional de concertation les crédits nécessaires pour lui permettre de remplir sa mission adéquatement et appuyer la mise en uvre de priorités qui sont actuellement considérées par la région.
Rappelons que la CRÉ constitue l'interlocuteur privilégié du gouvernement du Québec en matière de développement régional en Chaudière-Appalaches.
Elle a principalement pour mandat d'encourager le développement régional, de favoriser la concertation des partenaires régionaux, de doter la région d'une vision stratégique et d'orientations de développement socioéconomique et de donner, le cas échéant, des avis au gouvernement.
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