Remisée depuis quelques années dans la grange de M. Gilles Landry, qui l'a conservée fidèlement, la croix des Dubé réapparaîtra bientôt à Rivière-Ouelle... sous la forme d'un arbre!
D'abord, un peu d'histoire. En 1933, Louis Dubé construit une croix de chemin en bois à l'actuel numéro civique 189 sur la 132. En 1959, Louis et Raymond Dubé la remplacent par une croix en chevrons de fer croisés d'une hauteur de 18 pieds et d'une largeur de 14 pieds. Des années plus tard, elle se retrouve dans la grande de M. Landry.
Mais M. Benoît Guignard, président du comité d'embellissement du village, veillait au grain. Conscient de la valeur patrimoniale de la croix, il souhaitait qu'un projet puisse raviver cette mémoire en dormance.
De fil en aiguille, le projet a pris forme: restaurer la croix et la transformer en une uvre d'art public tout en respectant l'intégrité de la pièce d'origine. On confie le mandat à l'artiste Émilie Rondeau, résidente de Rivière-Ouelle, à qui le concept de l'arbre s'impose immédiatement par sa concordance avec le la figure cruciforme et sa place symbolique dans l'imaginaire universel: «Il s'agit d'un projet communautaire. J'espère que les gens vont se l'approprier» lance-t-elle.
Sur les quelque 2 800 croix de chemin qu'on trouve au Québec, on en compte neuf à Rivière-Ouelle... et bientôt dix avec la renaissance de la croix des Dubé.
Intitulé «On reconnaît l'arbre à ses fruits», le projet de Mme Rondeau fera l'objet d'une inauguration officielle en juin 2015 lors de la fête des citoyens.
D'abord, un peu d'histoire. En 1933, Louis Dubé construit une croix de chemin en bois à l'actuel numéro civique 189 sur la 132. En 1959, Louis et Raymond Dubé la remplacent par une croix en chevrons de fer croisés d'une hauteur de 18 pieds et d'une largeur de 14 pieds. Des années plus tard, elle se retrouve dans la grande de M. Landry.
Mais M. Benoît Guignard, président du comité d'embellissement du village, veillait au grain. Conscient de la valeur patrimoniale de la croix, il souhaitait qu'un projet puisse raviver cette mémoire en dormance.
De fil en aiguille, le projet a pris forme: restaurer la croix et la transformer en une uvre d'art public tout en respectant l'intégrité de la pièce d'origine. On confie le mandat à l'artiste Émilie Rondeau, résidente de Rivière-Ouelle, à qui le concept de l'arbre s'impose immédiatement par sa concordance avec le la figure cruciforme et sa place symbolique dans l'imaginaire universel: «Il s'agit d'un projet communautaire. J'espère que les gens vont se l'approprier» lance-t-elle.
Sur les quelque 2 800 croix de chemin qu'on trouve au Québec, on en compte neuf à Rivière-Ouelle... et bientôt dix avec la renaissance de la croix des Dubé.
Intitulé «On reconnaît l'arbre à ses fruits», le projet de Mme Rondeau fera l'objet d'une inauguration officielle en juin 2015 lors de la fête des citoyens.
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