C'est ce qu'a déclaré à notre service de nouvelles, le directeur général de l'entreprise d'imprimerie magnymontoise, Philippe Bégin.
Ce dernier explique son raisonnement par le fait que sur les 154 hebdos que détient maintenant Transcontinental, 34 doivent être vendus, dont 4 sont déjà sous contrat avec les Presses du Fleuve, ce qui représente environ 80 % de leurs chiffres d'affaires avec eux.
Seul nuage à l'horizon, le contrat signé à l'époque avec Quebecor pouvait être résilié à partir du 30 juin de cette année, et ce avec 30 jours d'avis. Cependant, étant donné que le tout n'est pas encore conclu définitivement entre les deux géants, le contrat pourra être annulé à partir de la mi-juillet suite à l'entente finale, bien entendu si tel est le désir de Transcontinental.
De plus, monsieur Bégin n'exclut aucunement que l'entreprise magnymontoise puisse s'entendre avec Transcontinental à des fins avantageuses pour les deux entités dans un avenir rapproché.
Ce qui rassure également Philippe Bégin, c'est que Transcontinental n'a aucun droit de regard sur les nouvelles compagnies qui achèteront les hebdos.
Cela implique donc que Transcontinental ne puisse négocier une clause dans les ventes de journaux imposés par le Bureau de la concurrence, afin d'exiger de faire imprimer lesdits hebdos dans leurs presses.
Rappelons qu'en mars 2013, Les Presses du Fleuve s'était vu confier par Québécor, un contrat d'impression estimé à près de 1 million $ par année sur trois ans, afin que l'entreprise locale impriment huit de leurs hebdos.
Ce dernier explique son raisonnement par le fait que sur les 154 hebdos que détient maintenant Transcontinental, 34 doivent être vendus, dont 4 sont déjà sous contrat avec les Presses du Fleuve, ce qui représente environ 80 % de leurs chiffres d'affaires avec eux.
Seul nuage à l'horizon, le contrat signé à l'époque avec Quebecor pouvait être résilié à partir du 30 juin de cette année, et ce avec 30 jours d'avis. Cependant, étant donné que le tout n'est pas encore conclu définitivement entre les deux géants, le contrat pourra être annulé à partir de la mi-juillet suite à l'entente finale, bien entendu si tel est le désir de Transcontinental.
De plus, monsieur Bégin n'exclut aucunement que l'entreprise magnymontoise puisse s'entendre avec Transcontinental à des fins avantageuses pour les deux entités dans un avenir rapproché.
Ce qui rassure également Philippe Bégin, c'est que Transcontinental n'a aucun droit de regard sur les nouvelles compagnies qui achèteront les hebdos.
Cela implique donc que Transcontinental ne puisse négocier une clause dans les ventes de journaux imposés par le Bureau de la concurrence, afin d'exiger de faire imprimer lesdits hebdos dans leurs presses.
Rappelons qu'en mars 2013, Les Presses du Fleuve s'était vu confier par Québécor, un contrat d'impression estimé à près de 1 million $ par année sur trois ans, afin que l'entreprise locale impriment huit de leurs hebdos.
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