Geneviève Caron, attachée de presse de M. Jean-Guy Desrosiers
Montmagny, le 16 octobre 2013 - Jean-Paul L'Allier a dit qu'il fallait réaliser des projets qui frappent l'imaginaire des citoyens afin de les rendre fiers. Ce n'est donc peut-être pas un hasard si Jean-Guy Desrosiers a remporté en 2011 le prix nommé en l'honneur de ce politicien.
En effet, remis chaque année par l'Ordre des urbanistes du Québec (OUQ) à un élu, le prix Jean-Paul-L'Allier récompense un politicien municipal qui s'est distingué par sa vision, son leadership et ses réalisations en urbanisme et en aménagement du territoire. Le quai Boulanger, le réaménagement de la Pointe-aux-Oies, le terrain multisport Laprise, le rond point de l'avenue Couillard-De-Beaumont et le projet Place de l'Église ont convaincu l'OUQ d'honorer M. Desrosiers. Si ce prix est un galon dans une carrière, c'est d'abord et avant tout pour redonner la fierté à ses concitoyens que le maire sortant s'est lancé dans la réalisation de ces projets.
Après avoir subi des pertes d'emplois massives en 2005, le maire arrivé à la tête de la Ville à la fin de cette année-là avait deux choix : se lamenter sur le sort de sa communauté, ou relever ses manches et lui servir un remède énergisant : la fierté. Jean-Guy Desrosiers se plait à dire que son rétroviseur est plus petit que son pare-brise, parce que quiconque veut avancer regarde en avant. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il veut mettre tout en uvre, en collaboration avec les citoyens et les entrepreneurs locaux, pour continuer à créer des symboles tangibles du dynamisme magnymontois.
Soutenir l'implantation d'entreprises dans de nouveaux secteurs d'activités, le développement de la culture et l'essor de l'industrie touristique, aménager des espaces adaptés aux besoins des Magnymontois et des environnements qui stimulent la fierté, voilà ce que fera Jean-Guy Desrosiers. D'ailleurs, cette vision semble réussir, car pour la première fois depuis 2001, la courbe démographique est repartie à la hausse au dernier recensement. Autrement dit, il y a de plus en plus de Magnymontois à rendre fiers.
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