Mark Boulet et Jean Valois
Du 22 juin au 8 juillet dernier, une soixantaine de marcheurs sont passés à L'Islet.
En provenance des quatre coins du Québec, ceux-ci ont marché de Pointe-au-Père jusqu'à Sainte-Anne-de-Beaupré, sur un parcours totalisant plus de 400 km échelonnés sur 21 jours.
Traversant une partie du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches, les marcheurs ont visité les paroisses tout en profitant pour se retrouver en pratiquant de la marche contemplative.
Les pèlerins ont marché en moyenne 20 km par jour et ont été hébergés dans des centres communautaires, des familles ou des institutions.
À L'Islet, un accueil personnalisé les attendait à la Salle des Habitants.
À en voir les messages dans le cahier de bord laissé sur place pour recueillir les commentaires, les participants ont visiblement apprécié non seulement le confort des lieux, mais aussi l'accueil de la population.
Les derniers marcheurs à passer dans la municipalité, monsieur Mark Boulet et monsieur Jean Valois, ont mentionné que les contacts humains et le ressourcement personnel sont leurs principales motivations pour participer à ce défi.
Ils ont souligné le fait qu'une bonne préparation physique est nécessaire pour éviter les blessures; les marcheurs doivent s'exercer avec un sac à dos du même poids que celui qu'ils portent durant leur excursion, qui pèse près de 30 livres.
En cours de route, plusieurs leur demandent à quoi servent les bâtons de marches : dans ce type de parcours, ils servent principalement à aider à la propulsion dans les montées et à un meilleur contrôle lors des descentes puisque le poids du sac ajoute une charge importante.
En provenance des quatre coins du Québec, ceux-ci ont marché de Pointe-au-Père jusqu'à Sainte-Anne-de-Beaupré, sur un parcours totalisant plus de 400 km échelonnés sur 21 jours.
Traversant une partie du Bas-Saint-Laurent et de Chaudière-Appalaches, les marcheurs ont visité les paroisses tout en profitant pour se retrouver en pratiquant de la marche contemplative.
Les pèlerins ont marché en moyenne 20 km par jour et ont été hébergés dans des centres communautaires, des familles ou des institutions.
À L'Islet, un accueil personnalisé les attendait à la Salle des Habitants.
À en voir les messages dans le cahier de bord laissé sur place pour recueillir les commentaires, les participants ont visiblement apprécié non seulement le confort des lieux, mais aussi l'accueil de la population.
Les derniers marcheurs à passer dans la municipalité, monsieur Mark Boulet et monsieur Jean Valois, ont mentionné que les contacts humains et le ressourcement personnel sont leurs principales motivations pour participer à ce défi.
Ils ont souligné le fait qu'une bonne préparation physique est nécessaire pour éviter les blessures; les marcheurs doivent s'exercer avec un sac à dos du même poids que celui qu'ils portent durant leur excursion, qui pèse près de 30 livres.
En cours de route, plusieurs leur demandent à quoi servent les bâtons de marches : dans ce type de parcours, ils servent principalement à aider à la propulsion dans les montées et à un meilleur contrôle lors des descentes puisque le poids du sac ajoute une charge importante.
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