Edward Dostaler, 26 ans, était de passage à Montmagny dans le cadre de son ultramarathon à travers le Canada, qui doit le mener de Victoria en Colombie-Britannique, jusqu'à Saint-Jean, Terre-Neuve. Son but est de faire l'aller-retour de 21 585 kilomètres. Il parcourt le pays pour amasser des fonds pour la Fondation du cancer du sein et pour la Société Alzheimer du Canada.
Cette singulière aventure a débuté le 1er mars et devrait durer quelque 16 mois, nous a-t-il dit, lors de son arrêt ici. Il estime qu'il arrivera à Terre-Neuve fin octobre. C'est donc dire qu'il va devoir courir en hiver au retour.
Fast Eddy, comme on le nomme, parcourt entre 50 et 60 kilomètres par jour, poussant son lourd bagage devant lui, dans son charriot à trois roues. Il court seul, mais reste en contact avec une petite équipe d'amis qui le suivent dans son aventure. On peut les voir sur le site web de Fast Eddy.
Le diplômé universitaire en histoire et coureur de sprint, a été motivé à faire cet ultramarathon, entre autres, parce que sa grand-mère souffre de la maladie d'Alzheimer et qu'un de ses professeurs, son mentor, est décédé du cancer du poumon. Pour lui, ce qui compte avant tout c'est la solidarité humaine et la sensibilisation à ces causes et le message d'espoir que l'on pourra vaincre ces maladies.
Chemin faisant, il acceptera qu'on l'invite à manger, qu'on l'héberge. Ça change des nuits sous la tente. Il appréciera aussi qu'on lui offre un endroit où camper gratuitement. Il est même prêt à faire de petits boulots, si ça se présente, parce que présentement il vit avec pas grand chose. Il repassera dans le coin, peut être à temps pour le Nouvel An. On pourrait alors lui offrir le réveillon.
En attendant, tous sont invités à l'aider dans son aventure. On peut aussi contribuer aux causes qu'il soutient en allant sur son site web officiel au www.fasteddycanada.com et le suivre sur Facebook à FastEddyCanada.
Cette singulière aventure a débuté le 1er mars et devrait durer quelque 16 mois, nous a-t-il dit, lors de son arrêt ici. Il estime qu'il arrivera à Terre-Neuve fin octobre. C'est donc dire qu'il va devoir courir en hiver au retour.
Fast Eddy, comme on le nomme, parcourt entre 50 et 60 kilomètres par jour, poussant son lourd bagage devant lui, dans son charriot à trois roues. Il court seul, mais reste en contact avec une petite équipe d'amis qui le suivent dans son aventure. On peut les voir sur le site web de Fast Eddy.
Le diplômé universitaire en histoire et coureur de sprint, a été motivé à faire cet ultramarathon, entre autres, parce que sa grand-mère souffre de la maladie d'Alzheimer et qu'un de ses professeurs, son mentor, est décédé du cancer du poumon. Pour lui, ce qui compte avant tout c'est la solidarité humaine et la sensibilisation à ces causes et le message d'espoir que l'on pourra vaincre ces maladies.
Chemin faisant, il acceptera qu'on l'invite à manger, qu'on l'héberge. Ça change des nuits sous la tente. Il appréciera aussi qu'on lui offre un endroit où camper gratuitement. Il est même prêt à faire de petits boulots, si ça se présente, parce que présentement il vit avec pas grand chose. Il repassera dans le coin, peut être à temps pour le Nouvel An. On pourrait alors lui offrir le réveillon.
En attendant, tous sont invités à l'aider dans son aventure. On peut aussi contribuer aux causes qu'il soutient en allant sur son site web officiel au www.fasteddycanada.com et le suivre sur Facebook à FastEddyCanada.
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