Le député néo-démocrate de Montmagny-L'Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, François Lapointe, s'est fait interdire mercredi, l'entrée au parlement par la GRC parce qu'il avait omis de lui présenter ses pièces d'identifications.
Bien que cette nouvelle soit sortie en premier lieu par le Journal de Québec, CMATV.CA peut confirmer le tout, puisque lorsque l'événement est arrivé, monsieur Lapointe était en entretien téléphonique avec notre service de nouvelles.
L'agent en question aurait donc par la suite bloqué physiquement l'accès à la porte en disant au député élu « C'est la GRC qui décide maintenant, c'est nous qui sommes armés. Pas de pin, pas de passe, tu ne rentres pas », a relaté le député du NPD au Journal de Québec.
François Lapointe, qui a plus tard été en mesure de retrouver ses collègues néo-démocrates en Chambre, estime que cette obstruction a été une grave atteinte à son privilège de député.
Ce qu'il faut savoir, c'est que maintenant la sécurité du parlement et du terrain de la colline Parlementaire, a été intégré sous le commandement de la GRC.
La GRC remplacera ainsi les services de sécurité du Sénat et de la Chambre des communes.
Rappelons que les mesures de sécurité du parlement avaient été vivement critiquées à la suite de l'attentat du 22 octobre dernier où un forcené était entré armé d'un fusil en ayant précédemment tué un militaire.
Bien que cette nouvelle soit sortie en premier lieu par le Journal de Québec, CMATV.CA peut confirmer le tout, puisque lorsque l'événement est arrivé, monsieur Lapointe était en entretien téléphonique avec notre service de nouvelles.
L'agent en question aurait donc par la suite bloqué physiquement l'accès à la porte en disant au député élu « C'est la GRC qui décide maintenant, c'est nous qui sommes armés. Pas de pin, pas de passe, tu ne rentres pas », a relaté le député du NPD au Journal de Québec.
François Lapointe, qui a plus tard été en mesure de retrouver ses collègues néo-démocrates en Chambre, estime que cette obstruction a été une grave atteinte à son privilège de député.
Ce qu'il faut savoir, c'est que maintenant la sécurité du parlement et du terrain de la colline Parlementaire, a été intégré sous le commandement de la GRC.
La GRC remplacera ainsi les services de sécurité du Sénat et de la Chambre des communes.
Rappelons que les mesures de sécurité du parlement avaient été vivement critiquées à la suite de l'attentat du 22 octobre dernier où un forcené était entré armé d'un fusil en ayant précédemment tué un militaire.
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