André Caron, maire
Depuis près de 22 ans déjà, Promo-Plastik, une coopérative de travail située à Saint-Jean-Port-Joli, fabriquait plus de 100 000 effigies annuellement pour le Carnaval de Québec.
Cette année, Promo-Plastik a soumissionné 20 % plus cher que son compétiteur chinois, à qui le contrat a été octroyé.
Par le biais d'une lettre envoyée au début du mois de novembre, le maire de L'Islet, monsieur André Caron, demande aux organisateurs du Carnaval de reconsidérer leur décision d'attribuer le contrat pour la fabrication de l'effigie du Bonhomme Carnaval à une entreprise située à l'extérieur du pays.
Selon monsieur Caron, cette situation aura des impacts sur l'emploi dans la municipalité de L'Islet, puisque Promo-Plastik assurait l'impression de l'effigie et accordait par sous-traitance l'ensachage de ses produits à Valorizaction, un organisme communautaire de L'Islet voué au bien-être de sa clientèle composée de personnes handicapées.
Monsieur Caron se dit très déçu, mais également surpris de cette décision.
Il croit que les contrats accordés par le Carnaval devraient l'être dans la perspective d'encouragement d'entreprises locales embauchant de la main-d'uvre qui, elle, participera en très grand nombre aux activités offertes par le Carnaval de Québec.
Cette année, Promo-Plastik a soumissionné 20 % plus cher que son compétiteur chinois, à qui le contrat a été octroyé.
Par le biais d'une lettre envoyée au début du mois de novembre, le maire de L'Islet, monsieur André Caron, demande aux organisateurs du Carnaval de reconsidérer leur décision d'attribuer le contrat pour la fabrication de l'effigie du Bonhomme Carnaval à une entreprise située à l'extérieur du pays.
Selon monsieur Caron, cette situation aura des impacts sur l'emploi dans la municipalité de L'Islet, puisque Promo-Plastik assurait l'impression de l'effigie et accordait par sous-traitance l'ensachage de ses produits à Valorizaction, un organisme communautaire de L'Islet voué au bien-être de sa clientèle composée de personnes handicapées.
Monsieur Caron se dit très déçu, mais également surpris de cette décision.
Il croit que les contrats accordés par le Carnaval devraient l'être dans la perspective d'encouragement d'entreprises locales embauchant de la main-d'uvre qui, elle, participera en très grand nombre aux activités offertes par le Carnaval de Québec.
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