Le premier ministre du Québec
C'est du moins ce qu'a affirmé le premier citoyen du Québec aujourd'hui en point de presse à l'Assemblée nationale.
Monsieur Couillard prend ainsi acte de la décision de la Cour supérieure qui a ordonné la veille l'arrêt des travaux jusqu'au 15 octobre, et ce, à la demande de groupes écologistes inquiétés par le sort réservé aux bélugas, mais souhaite que lesdits travaux reprennent le plus tôt possible, les jugeant indispensables.
« Les travaux devront reprendre après cette date, parce qu'ils sont absolument indispensables pour caractériser les sols et faire une évaluation environnementale du projet, » a déclaré le premier ministre.
De ce fait, le premier ministre libéral rejette du revers de la main la requête de l'opposition péquiste d'annuler les certificats d'autorisation délivrés à la compagnie TransCanada.
Quant aux forages, ils permettront, selon lui, de recueillir l'information nécessaire à une juste évaluation environnementale du projet.
Cette évaluation sera par la suite soumise à l'Office national de l'énergie du Canada.
Une autre étude du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) sera également effectuée.
Rappelons que dans son jugement, la Cour supérieure a blâmé le ministre de l'Environnement David Heurtel , parce que ce dernier ne s'est pas préoccupé adéquatement de l'effet des travaux de TransCanada sur les populations de bélugas, une espèce considérée comme menacée.
Monsieur Couillard prend ainsi acte de la décision de la Cour supérieure qui a ordonné la veille l'arrêt des travaux jusqu'au 15 octobre, et ce, à la demande de groupes écologistes inquiétés par le sort réservé aux bélugas, mais souhaite que lesdits travaux reprennent le plus tôt possible, les jugeant indispensables.
« Les travaux devront reprendre après cette date, parce qu'ils sont absolument indispensables pour caractériser les sols et faire une évaluation environnementale du projet, » a déclaré le premier ministre.
De ce fait, le premier ministre libéral rejette du revers de la main la requête de l'opposition péquiste d'annuler les certificats d'autorisation délivrés à la compagnie TransCanada.
Quant aux forages, ils permettront, selon lui, de recueillir l'information nécessaire à une juste évaluation environnementale du projet.
Cette évaluation sera par la suite soumise à l'Office national de l'énergie du Canada.
Une autre étude du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) sera également effectuée.
Rappelons que dans son jugement, la Cour supérieure a blâmé le ministre de l'Environnement David Heurtel , parce que ce dernier ne s'est pas préoccupé adéquatement de l'effet des travaux de TransCanada sur les populations de bélugas, une espèce considérée comme menacée.
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