On s'y attendait, mais maintenant il s'agit d'une réalité dans la capitale de l'oie blanche.
Après que le prix ait chuté en fin d'année 2014, voilà que le prix payé pour le litre d'essence à Montmagny coûte moins qu'un dollar.
En effet, il se situe présentement à 99,4 cents le litre, et ce, au grand plaisir des usagers de la route.
Le plus avantageux dans cette situation, c'est qu'il se situe en dessous de la moyenne du prix payé dans la grande région de Chaudière-Appalaches, soit 1,003 $ et en bas du prix suggéré pour notre région par CAA-Québec, soit 1,012 $ le litre.
Ce qui frappe encore plus l'imaginaire des conducteurs, c'est qu'il n'y a pas eu d'augmentation du prix de l'essence durant le long congé des fêtes comme dans les années précédentes.
Il faut se rappeler que le prix du litre d'essence avait historiquement toujours tendance à augmenter dans la belle province, et ce, juste avant un long congé, favorisant ainsi une plus grande marge de profit pour les grandes compagnies pétrolières multimilliardaire.
Ce qui est encore plus positif, c'est que la tendance à la baisse du prix de l'essence dans le monde, ne semble pas être sur le point de terminer.
En effet, le prix du baril de pétrole se transige maintenant en bas du prix symbolique de 50 $. Une valeur n'ayant pas été vue de puis 2009 sur les marchés boursiers de New York et de Londres.
D'ailleurs, tout se dessine pour maintenir la pression à la baisse.
Tout d'abord, l'offre reste surabondante et certains éléments nouveaux tendent à montrer que cela ne devrait pas changer avant un bon moment.
De plus, la demande en pétrole devrait rester très modérée au cours du premier semestre sur les marchés boursiers, et même davantage, et ce, en raison des médiocres performances économiques de l'Europe et de la Chine.
Sans compter que la Russie et l'Irak ont enregistré dernièrement des records de production et que les pays membres de l'OPEP ont annoncé récemment qu'ils maintiendraient leur niveau de production de l'or noir.
Qui plus est, selon certains spécialistes alternatifs de la question pétrolifère, les problèmes géopolitiques que connait présentement le monde, auraient divisé les familles dirigeantes des grands consortiums de l'industrie, ce qui ferait en sorte que le prix du pétrole maintenu artificiellement par une forme de collusion en haut lieu ne serait actuellement plus possible.
Et pour couronner le tout, d'autres gisements devraient entrer en fonction en 2015 et en 2016, et ce, à plusieurs endroits sur la planète, ce qui n'augure rien de bon pour des profits à la hausse dans le secteur pétrolifère.
Quoi qu'il en soit, aucun usager ne versera une larme en voyant le prix du litre d'essence diminuer à la pompe.
Après que le prix ait chuté en fin d'année 2014, voilà que le prix payé pour le litre d'essence à Montmagny coûte moins qu'un dollar.
En effet, il se situe présentement à 99,4 cents le litre, et ce, au grand plaisir des usagers de la route.
Le plus avantageux dans cette situation, c'est qu'il se situe en dessous de la moyenne du prix payé dans la grande région de Chaudière-Appalaches, soit 1,003 $ et en bas du prix suggéré pour notre région par CAA-Québec, soit 1,012 $ le litre.
Ce qui frappe encore plus l'imaginaire des conducteurs, c'est qu'il n'y a pas eu d'augmentation du prix de l'essence durant le long congé des fêtes comme dans les années précédentes.
Il faut se rappeler que le prix du litre d'essence avait historiquement toujours tendance à augmenter dans la belle province, et ce, juste avant un long congé, favorisant ainsi une plus grande marge de profit pour les grandes compagnies pétrolières multimilliardaire.
Ce qui est encore plus positif, c'est que la tendance à la baisse du prix de l'essence dans le monde, ne semble pas être sur le point de terminer.
En effet, le prix du baril de pétrole se transige maintenant en bas du prix symbolique de 50 $. Une valeur n'ayant pas été vue de puis 2009 sur les marchés boursiers de New York et de Londres.
D'ailleurs, tout se dessine pour maintenir la pression à la baisse.
Tout d'abord, l'offre reste surabondante et certains éléments nouveaux tendent à montrer que cela ne devrait pas changer avant un bon moment.
De plus, la demande en pétrole devrait rester très modérée au cours du premier semestre sur les marchés boursiers, et même davantage, et ce, en raison des médiocres performances économiques de l'Europe et de la Chine.
Sans compter que la Russie et l'Irak ont enregistré dernièrement des records de production et que les pays membres de l'OPEP ont annoncé récemment qu'ils maintiendraient leur niveau de production de l'or noir.
Qui plus est, selon certains spécialistes alternatifs de la question pétrolifère, les problèmes géopolitiques que connait présentement le monde, auraient divisé les familles dirigeantes des grands consortiums de l'industrie, ce qui ferait en sorte que le prix du pétrole maintenu artificiellement par une forme de collusion en haut lieu ne serait actuellement plus possible.
Et pour couronner le tout, d'autres gisements devraient entrer en fonction en 2015 et en 2016, et ce, à plusieurs endroits sur la planète, ce qui n'augure rien de bon pour des profits à la hausse dans le secteur pétrolifère.
Quoi qu'il en soit, aucun usager ne versera une larme en voyant le prix du litre d'essence diminuer à la pompe.
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