Les dernières chutes du prix de l'essence à la pompe au Québec ont de quoi ravir les Magnymontois, et pour cause.
En effet, le litre d'essence à la pompe dans la capitale de l'oie blanche se transige à 1,17,4$, soit un des plus bas prix au Québec, sans parler que ledit prix est en deçà du prix réaliste de CAA-Québec, qui est lui de 1,21 $ le litre.
Bien qu'il y ait plusieurs facteurs qui influencent cette baisse drastique, soit de près de 0,30 cent depuis Pâques dernier, il semble que maintenant, selon les spécialistes, l'offre excède la demande.
Cette situation serait attribuable entres-autres à la Chine qui a décidé dernièrement d'abandonner graduellement leur dépendance au pétrole, compte tenu que la pollution dans leur pays est tellement grande que la production manufacturière chinoise y a ralentit, et ce, en lien avec des problèmes de santé pour leurs employés, imputable directement à la pollution.
De plus, l'abandon dernier par la Chine et la Russie du pétrodollar par leur monnaie respective a également joué dans la dernière baisse du prix de l'essence à Wall Street.
Sans compter que, dernièrement, les héritiers du roi du pétrole américain, John D. Rockefeller, ont décidé de céder leurs actifs pétroliers pour investir dans les énergies renouvelables.
Le fonds Rockefeller Brothers Fund, qui gère au total 860 millions de dollars d'actifs, a ainsi annoncé qu'il allait réduire « dès que possible » ses participations pétrolières à moins de 1 % de son portefeuille, pour privilégier les énergies propres.
Quoi qu'il en soit, cette baisse drastique du prix de l'essence à la pompe a de quoi réjouir l'ensemble des consommateurs.
En effet, le litre d'essence à la pompe dans la capitale de l'oie blanche se transige à 1,17,4$, soit un des plus bas prix au Québec, sans parler que ledit prix est en deçà du prix réaliste de CAA-Québec, qui est lui de 1,21 $ le litre.
Bien qu'il y ait plusieurs facteurs qui influencent cette baisse drastique, soit de près de 0,30 cent depuis Pâques dernier, il semble que maintenant, selon les spécialistes, l'offre excède la demande.
Cette situation serait attribuable entres-autres à la Chine qui a décidé dernièrement d'abandonner graduellement leur dépendance au pétrole, compte tenu que la pollution dans leur pays est tellement grande que la production manufacturière chinoise y a ralentit, et ce, en lien avec des problèmes de santé pour leurs employés, imputable directement à la pollution.
De plus, l'abandon dernier par la Chine et la Russie du pétrodollar par leur monnaie respective a également joué dans la dernière baisse du prix de l'essence à Wall Street.
Sans compter que, dernièrement, les héritiers du roi du pétrole américain, John D. Rockefeller, ont décidé de céder leurs actifs pétroliers pour investir dans les énergies renouvelables.
Le fonds Rockefeller Brothers Fund, qui gère au total 860 millions de dollars d'actifs, a ainsi annoncé qu'il allait réduire « dès que possible » ses participations pétrolières à moins de 1 % de son portefeuille, pour privilégier les énergies propres.
Quoi qu'il en soit, cette baisse drastique du prix de l'essence à la pompe a de quoi réjouir l'ensemble des consommateurs.
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