Il se produit en ce moment un curieux décalage entre ce que de plus en plus d'adultes considèrent comme une priorité dans leur vie et le message que l'on donne indirectement à nos jeunes dans notre société.
Il suffit de constater l'état lamentable du terrain d'athlétisme de LJCasault, l'état et les tailles inadaptées du Palestre ou de la Piscine pour mesurer l'importance que l'on donne au sport chez les jeunes.
S'il n'y avait des bénévoles ou des éducateurs acharnés, ce serait la véritable misère.
Maintenant c'est le sport parascolaire qui va se réduire au minimum : avec des horaires et des activités restreintes et des tarifs augmentés probablement que dès l'an prochain on nous dira que la clientèle n'est plus au rendez-vous pour assurer le service.
La commission scolaire doit faire des choix nous dira-t-on. Elle a en tout cas fait le choix en 2012 de ne pas se regrouper avec ses voisines au détriment de certaines économies. J'espère que ce ne sont pas nos jeunes qui en paient le prix maintenant. Le sport demande peu de moyens au regard des bénéfices qu'il apporte.
Sans en faire une nouvelle priorité éphémère pouvons-nous simplement lui redonner sa place dans notre système éducatif et le rendre davantage accessible au plus grand nombre.
Arnaud MAURICE, Parent d'élèves et moniteur bénévole (PNCE) dans plusieurs sports.
Il suffit de constater l'état lamentable du terrain d'athlétisme de LJCasault, l'état et les tailles inadaptées du Palestre ou de la Piscine pour mesurer l'importance que l'on donne au sport chez les jeunes.
S'il n'y avait des bénévoles ou des éducateurs acharnés, ce serait la véritable misère.
Maintenant c'est le sport parascolaire qui va se réduire au minimum : avec des horaires et des activités restreintes et des tarifs augmentés probablement que dès l'an prochain on nous dira que la clientèle n'est plus au rendez-vous pour assurer le service.
La commission scolaire doit faire des choix nous dira-t-on. Elle a en tout cas fait le choix en 2012 de ne pas se regrouper avec ses voisines au détriment de certaines économies. J'espère que ce ne sont pas nos jeunes qui en paient le prix maintenant. Le sport demande peu de moyens au regard des bénéfices qu'il apporte.
Sans en faire une nouvelle priorité éphémère pouvons-nous simplement lui redonner sa place dans notre système éducatif et le rendre davantage accessible au plus grand nombre.
Arnaud MAURICE, Parent d'élèves et moniteur bénévole (PNCE) dans plusieurs sports.
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