La région de Montmagny a la particularité de posséder plusieurs îles difficiles à atteindre. L'Isle-aux-Grues, par exemple, abrite une population qui est parfois en situation d'urgence et ils n'ont d'autre choix que de se tourner vers les Lachance.
En entrevue à CMATV, Jean-François Lachance expliquait que sa famille était souvent appelée à aller chercher quelqu'un qui nécessite des soins rapidement. Mis à part eux, l'option la plus rapide est un avion Hercules basé à Halifax qui prend 4 heures à arriver à destination.
Le service d'incendie de la région est également sans aide, puisqu'il n'est pas équipé adéquatement. L'avion de Montmagny n'est pas disponible à toutes heures du jour. Dans ces cas, les Lachances deviennent la seule option possible.
Les Lachance se retrouvent donc à parcourir le fleuve pour venir en aide sans être payé pour leur service. Jean-Fançois disait qu'ils refusent de donner la facture à la famille de la personne secourue, car ce serait ingrat.
Cette situation perdure depuis que le gouvernement fédéral a coupé son financement aux opérations de secours sur les voies maritimes il y a quelques années. « Le dossier des secours sur le fleuve est tombé entre deux chaises » nous dit Jean-François.
La situation tend cependant à s'améliorer puisque des pourparlers avec le député de la région sont en cours pour trouver une solution. Si le dossier peut trouver un dénouement, les Lachance pourraient finalement être remboursés pour leurs services à la population.
M. Lachance mentionne aussi que les régions manquent de ressources matérielles pour accomplir ce genre de travail. « Même la Ville de Québec n'est pas équipée à 100%. » dit-il. Lui et ses frères, qui gèrent la compagnie UMA sont prêt à vendre de l'équipement aux municipalités et à proposer des formations de base pour améliorer la situation.
Les bateaux UMA sont très polyvalents. La UMA 21 est offerte dans des modèles ouverts, cabinés ou avec une console centrale semblable à une petite cabine qui s'adapte à chaque situation.
En attendant un dénouement, les Lachance ont une UMA 21 toujours prête à prendre la mer pour aider quelqu'un en situation d'urgence.
En entrevue à CMATV, Jean-François Lachance expliquait que sa famille était souvent appelée à aller chercher quelqu'un qui nécessite des soins rapidement. Mis à part eux, l'option la plus rapide est un avion Hercules basé à Halifax qui prend 4 heures à arriver à destination.
Le service d'incendie de la région est également sans aide, puisqu'il n'est pas équipé adéquatement. L'avion de Montmagny n'est pas disponible à toutes heures du jour. Dans ces cas, les Lachances deviennent la seule option possible.
Les Lachance se retrouvent donc à parcourir le fleuve pour venir en aide sans être payé pour leur service. Jean-Fançois disait qu'ils refusent de donner la facture à la famille de la personne secourue, car ce serait ingrat.
Cette situation perdure depuis que le gouvernement fédéral a coupé son financement aux opérations de secours sur les voies maritimes il y a quelques années. « Le dossier des secours sur le fleuve est tombé entre deux chaises » nous dit Jean-François.
La situation tend cependant à s'améliorer puisque des pourparlers avec le député de la région sont en cours pour trouver une solution. Si le dossier peut trouver un dénouement, les Lachance pourraient finalement être remboursés pour leurs services à la population.
M. Lachance mentionne aussi que les régions manquent de ressources matérielles pour accomplir ce genre de travail. « Même la Ville de Québec n'est pas équipée à 100%. » dit-il. Lui et ses frères, qui gèrent la compagnie UMA sont prêt à vendre de l'équipement aux municipalités et à proposer des formations de base pour améliorer la situation.
Les bateaux UMA sont très polyvalents. La UMA 21 est offerte dans des modèles ouverts, cabinés ou avec une console centrale semblable à une petite cabine qui s'adapte à chaque situation.
En attendant un dénouement, les Lachance ont une UMA 21 toujours prête à prendre la mer pour aider quelqu'un en situation d'urgence.
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