Plus de cent cinquante enseignantes et enseignants du Cégep de La Pocatière et du Centre d'études collégiales de Montmagny ont déposé symboliquement le jeudi 30 octobre au matin les demandes sectorielles propres aux professeurs de cégep à la direction de l'établissement.
Pour M. Éric Ouellet, du Syndicat des enseignantes et des enseignants des campus de La Pocatière et de Montmagny (SEECLPM), il était important de faire connaître à la direction les éléments qui seront négociés nationalement avec le Comité patronal de négociation des collèges (CPNC).
« Nous souhaitons que cette négociation serve à améliorer les conditions de travail des enseignantes et des enseignants précaires et à préserver l'autonomie professionnelle de tous les enseignants, » de déclarer ce dernier.
En effet, dans une réalité où la population étudiante diminue et où les efforts de recrutement et, par le fait même, de consolidation des emplois actuels, il est important selon eux, de veiller à créer une entente commune et équitable entre les directions des établissements scolaires et les enseignantes et les enseignants.
Pour le SEECLPM, cette négociation survient dans un contexte d'austérité, alors que les compressions du gouvernement risquent d'altérer la qualité de l'éducation.
L'austérité semble de ce fait menacer la stabilité des emplois et place les familles dans des situations de précarité.
« Déjà, à deux reprises l'an dernier, nous avons dû couper de manière significative dans les activités liées aux programmes ainsi que dans les budgets dédiés au fonctionnement de nos instances départementales. Par ces mesures, personne ne peut nier que les services directs aux étudiants sont touchés », ajoute M. Ouellet.
Pour M. Éric Ouellet, du Syndicat des enseignantes et des enseignants des campus de La Pocatière et de Montmagny (SEECLPM), il était important de faire connaître à la direction les éléments qui seront négociés nationalement avec le Comité patronal de négociation des collèges (CPNC).
« Nous souhaitons que cette négociation serve à améliorer les conditions de travail des enseignantes et des enseignants précaires et à préserver l'autonomie professionnelle de tous les enseignants, » de déclarer ce dernier.
En effet, dans une réalité où la population étudiante diminue et où les efforts de recrutement et, par le fait même, de consolidation des emplois actuels, il est important selon eux, de veiller à créer une entente commune et équitable entre les directions des établissements scolaires et les enseignantes et les enseignants.
Pour le SEECLPM, cette négociation survient dans un contexte d'austérité, alors que les compressions du gouvernement risquent d'altérer la qualité de l'éducation.
L'austérité semble de ce fait menacer la stabilité des emplois et place les familles dans des situations de précarité.
« Déjà, à deux reprises l'an dernier, nous avons dû couper de manière significative dans les activités liées aux programmes ainsi que dans les budgets dédiés au fonctionnement de nos instances départementales. Par ces mesures, personne ne peut nier que les services directs aux étudiants sont touchés », ajoute M. Ouellet.
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