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Louis Gagnon oriente sa campagne sur le développement

Louis Gagnon, candidat du Bloc Québécois dans la circonscription de Montmagny-L'Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, propose plusieurs idées de développement pour la région tout en rappelant que le Bloc a gagné beaucoup de batailles pour le Québec au cours des dernières années.

« Que ce soit pour les aînés avec le programme de supplément du revenu garanti, l'assurance-emploi, la lutte au crime organisé, le déséquilibre fiscal et les producteurs agricoles, avec le Bloc, on gagne sur les dossiers qui nous concernent. Dans la région, c'est Paul Crête qui a gagné la plus grosse bataille pour les travailleurs saisonniers et l'assurance-emploi en plus d'avoir été cherché deux fois 10 millions en innovation pour Premier Tech », rappelle le candidat bloquiste.

Il a présenté les enjeux importants de la campagne dans la circonscription. Pour lui, non seulement il faut créer de l'emploi, mais il faut aussi attirer de la main-d'œuvre qualifiée et trouver les moyens pour la garder dans la région. Il affirme que la priorité du Bloc est la gestion de l'offre afin de défendre les agriculteurs de la région.

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Louis Gagnon veut qu'il y ait des investissements en innovation agroalimentaire à La Pocatière avec le CDBQ qui, selon lui, rayonne sur toute la région. L'entente du bois d'œuvre vient à échéance le 12 octobre prochain et pour les travailleurs de Saint-Pamphile, son parti et lui veulent que Maybec et Matériaux Blanchette, par exemple, puissent transiger sans payer la taxe qui leur a été imposée dans la dernière entente. Louis Gagnon est clair, c'est au fédéral que tout cela se négocie et le Bloc et lui seront aux premières lignes pour gagner tout ça.

Il tient à rappeler le maigre bilan du député sortant du NPD en prenant l'exemple du port de Cacouna, un dossier dont la responsabilité incombe au gouvernement fédéral.

« Quand, dans les quatre dernières années, vous avez eu respectivement 52, 35, 14 et 28 bateaux par an à votre port de mer en eau profonde, c'est qu'il y a un manque de direction criant », conclut Louis Gagnon.

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