Maibec, entreprise québécoise de transformation du bois, effectue des investissements de l'ordre de 20 millions de dollars afin de moderniser l'équipement de son usine de Saint-Pamphile.
Les effets d'une telle actions'exercent sur de multiples facettes de l'économie, notamment sur la productivité de l'entreprise et sur l'emploi L'achat de nouvelles unités de sciage technologiquement supérieurespour la fabrication de bois de construction rend Maibec plus compétitive sur le marché. « Une entreprise qui n'améliore pas sa compétitivité en effectuant des gains de productivité décroît indéniablement au fil du temps », a mentionné François Tardif, président de Maibec.
L'apport de cette nouvelle technologie au sein de l'entreprise devrait normalement engendrer une diminution du temps de travail déployé par unité produite, ce qui ouvre la porte à une augmentation des volumes de production.
Étant donné que Maibec fabrique du revêtement extérieur en bois véritables sous forme de lambris, et par l'optimisation de l'utilisation de la matière, l'entreprise accroît ses produits de valeurs en allouant plus de bois à la fabrication de lambris. Cette revitalisation technologique constitue donc un apport substantiel au processus de concentration verticale de l'entreprise.
Par ailleurs, avec cet investissement, Maibec potentialise la diversification de sa production et par le fait même consolide des emplois dans la région.
Et la situation de l'emploi dans tout ça
Malgré le fait que la nouvelle machinerie soit venue remplacée les postes de plusieurs travailleurs, la situation des emploies dans l'entreprise n'a pas essuyé de perte de postes réguliers, mais a tout de même été sujette à certains bouleversements. « Nous n'avons supprimé aucun poste dans le personnel régulier, mais il y a eu un programme de départ à la retraite volontaire et des employés ont été affectés à d'autres secteurs d'activité au sein de l'entreprise » de dire M. Tardif.
Dans un environnement concurrentiel mondialisé, une entreprise doit répondre à deux impératifs incontournables. « Il ne faut pas penser que la technologie vient prendre les emplois des travailleurs, il faut plutôt être conscient que la concurrence sur le marché est mondiale et qu'une entreprise doit toujours chercher à satisfaire sa clientèle tout en diminuant ses coûts de production » a mentionné le président de la compagnie. Rappelons que Maibec est une entreprise familiale qui uvre dans la transformation du bois depuis 1946 et qui emploie 700 personnes.
Julien Carrier
Les effets d'une telle actions'exercent sur de multiples facettes de l'économie, notamment sur la productivité de l'entreprise et sur l'emploi L'achat de nouvelles unités de sciage technologiquement supérieurespour la fabrication de bois de construction rend Maibec plus compétitive sur le marché. « Une entreprise qui n'améliore pas sa compétitivité en effectuant des gains de productivité décroît indéniablement au fil du temps », a mentionné François Tardif, président de Maibec.
L'apport de cette nouvelle technologie au sein de l'entreprise devrait normalement engendrer une diminution du temps de travail déployé par unité produite, ce qui ouvre la porte à une augmentation des volumes de production.
Étant donné que Maibec fabrique du revêtement extérieur en bois véritables sous forme de lambris, et par l'optimisation de l'utilisation de la matière, l'entreprise accroît ses produits de valeurs en allouant plus de bois à la fabrication de lambris. Cette revitalisation technologique constitue donc un apport substantiel au processus de concentration verticale de l'entreprise.
Par ailleurs, avec cet investissement, Maibec potentialise la diversification de sa production et par le fait même consolide des emplois dans la région.
Et la situation de l'emploi dans tout ça
Malgré le fait que la nouvelle machinerie soit venue remplacée les postes de plusieurs travailleurs, la situation des emploies dans l'entreprise n'a pas essuyé de perte de postes réguliers, mais a tout de même été sujette à certains bouleversements. « Nous n'avons supprimé aucun poste dans le personnel régulier, mais il y a eu un programme de départ à la retraite volontaire et des employés ont été affectés à d'autres secteurs d'activité au sein de l'entreprise » de dire M. Tardif.
Dans un environnement concurrentiel mondialisé, une entreprise doit répondre à deux impératifs incontournables. « Il ne faut pas penser que la technologie vient prendre les emplois des travailleurs, il faut plutôt être conscient que la concurrence sur le marché est mondiale et qu'une entreprise doit toujours chercher à satisfaire sa clientèle tout en diminuant ses coûts de production » a mentionné le président de la compagnie. Rappelons que Maibec est une entreprise familiale qui uvre dans la transformation du bois depuis 1946 et qui emploie 700 personnes.
Julien Carrier
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