Le député Norbert Morin
Questionné par notre service de nouvelles à commenter l'incident de la fouille d'une élève de 15 ans de la polyvalente de Neuchâtel, le député libéral de Côte-du-Sud, Norbert Morin a tenu à rappeler le contexte légal de l'évènement, tout en affirmant que des travaux d'encadrement pour cette pratique devaient avoir lieu.
« Il est important de rappeler que la Cour suprême confère le droit aux directions d'école de procéder à la fouille d'un élève, de manière raisonnable et sous certaines conditions. Néanmoins, des travaux seront entamés rapidement pour revoir les modalités d'exercice de ce pouvoir et resserrer les balises en matière de fouille d'élèves afin de mieux guider le personnel scolaire dans leurs interventions, » a déclaré Norbert Morin sur la question.
Bien que l'évènement se soit passé dans l'éducation qui est un champ de compétence provinciale, le député néo-démocrate de Montmagny-L'Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, François Lapointe, a également été interpellé sur l'incident par notre service de nouvelles.
Pour ce dernier, le plus grand respect doit être donné aux élèves lors de tels circonstances.
« Je fais confiance aux établissements d'éducation dans l'analyse des évènements récents. Je crois qu'ils sauront s'assurer que les actions à prendre dans ces situations très délicates seront prises dans le respect de la décision de la cour suprême, mais aussi dans le plus grand respect des élèves, » d'affirmer François Lapointe.
En effet, la Cour suprême avait attesté dans une décision en 1998 « qu'exiger un mandat ou une autre autorisation préalable pour procéder à la fouille serait clairement peu pratique et irréalisable dans l'environnement scolaire. Les enseignants et les directeurs doivent pouvoir répondre rapidement et efficacement aux problèmes qui surgissent à l'école afin de protéger leurs élèves et procurer l'atmosphère ordonnée à l'acquisition de connaissances. Le rôle est tel qui doivent pouvoir effectuer des fouilles, toutefois, la fouille elle-même doit être effectuée de manière raisonnable, délicate et la moins envahissante possible. »
« Il est important de rappeler que la Cour suprême confère le droit aux directions d'école de procéder à la fouille d'un élève, de manière raisonnable et sous certaines conditions. Néanmoins, des travaux seront entamés rapidement pour revoir les modalités d'exercice de ce pouvoir et resserrer les balises en matière de fouille d'élèves afin de mieux guider le personnel scolaire dans leurs interventions, » a déclaré Norbert Morin sur la question.
Bien que l'évènement se soit passé dans l'éducation qui est un champ de compétence provinciale, le député néo-démocrate de Montmagny-L'Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, François Lapointe, a également été interpellé sur l'incident par notre service de nouvelles.
Pour ce dernier, le plus grand respect doit être donné aux élèves lors de tels circonstances.
« Je fais confiance aux établissements d'éducation dans l'analyse des évènements récents. Je crois qu'ils sauront s'assurer que les actions à prendre dans ces situations très délicates seront prises dans le respect de la décision de la cour suprême, mais aussi dans le plus grand respect des élèves, » d'affirmer François Lapointe.
En effet, la Cour suprême avait attesté dans une décision en 1998 « qu'exiger un mandat ou une autre autorisation préalable pour procéder à la fouille serait clairement peu pratique et irréalisable dans l'environnement scolaire. Les enseignants et les directeurs doivent pouvoir répondre rapidement et efficacement aux problèmes qui surgissent à l'école afin de protéger leurs élèves et procurer l'atmosphère ordonnée à l'acquisition de connaissances. Le rôle est tel qui doivent pouvoir effectuer des fouilles, toutefois, la fouille elle-même doit être effectuée de manière raisonnable, délicate et la moins envahissante possible. »
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