Les résidents du boulevard Galarneau, qui est la route conduisant de St-Pacôme à Saint-Gabriel Lalemant ont eu une nuit de sommeil perturbée à maintes reprises par les sirènes des véhicules d'urgences qui ont dû se déplacer du côté de cette dernière municipalité dans la nuit de vendredi à samedi le 25 octobre.
Tout d'abord, un incendie dans une grange s'est déclaré sur l'Avenue de la Rivière à Saint-Gabriel Lalemant. Celle-ci appartenait anciennement à M. Lucien D'Anjou. La bâtisse a été écrasée et s'avère être une perte totale. Notre informateur a dit : « Entre minuit et 3h 30 du matin, il y avait de la police partout et beaucoup de camions de pompiers. » Au moment de publier, le conseiller municipal responsable du service de sécurité public n'a pu être joint. Il a donc été impossible d'obtenir de plus amples détails sur l'événement.
En plus, toujours selon notre informateur, un cas de chicane conjugale aurait été observé en soirée vendredi. Un homme ayant surpris sa femme au lit avec un autre homme aurait mal réagi et troublé par cette fâcheuse découverte, il se serait rendu à La Pocatière afin de « virer une brosse». Ici, il ne faut pas présumer qu'il y aurait eu altercation ou violence conjugale.
Notre informateur a aussi mentionné que « Ça a aussi brassé au Mc Donald à La Pocatière hier soir en relation avec cet événement, » L'homme affecté par la situation le concernant aurait été recueilli par son frère qui l'aurait ramené à sa résidence afin de l'héberger pour la nuit. L'homme tourmenté aurait alors tenu des propos où il exprimait vouloir porter atteinte à ses jours. Considérant la situation assez sérieuse, le membre de sa famille aurait décidé de contacter la police pour prévenir un éventuel drame. Donc : « Vers 5h du matin, les polices montaient à nouveau à St-Gabriel avec les sirènes au fond..., suivi d'une ambulance en assistance. », de dire notre témoin en poursuivant son récit.
Le service des communications de la SQ, en conformité avec le protocole sur les cas de violence conjugale, n'était pas disposé à confirmer ou à révéler d'éventuelles informations sur la situation rapportée à notre service de nouvelles. Toutefois la sergente Audrey-Anne Bilodeau souhaite informer le public : « En cas de violence conjugale, chacun des événements divulgués sont traités par les policiers et advenant que la victime ne désire pas porter plainte contre l'agresseur (homme ou femme), les agents de la Sûreté du Québec ont depuis quelques années, le pouvoir de transmettre le dossier à un procureur s'ils ont des raisons de croire qu'un acte criminel tel que menace ou voie de fait a été commis. »