Alain Blais blessé à la suite de l'accident
Alain Blais et sa fille Véronique Blais qui ont été des victimes de l'accident de l'autocar québécois du vendredi 18 juillet dernier dans l'État de New York, faisant un mort et des dizaines de blessés, n'ont pas encore pris leurs décisions à savoir s'ils allaient embarquer dans cette aventure juridique.
Rejoint par notre service de nouvelles, Alain Blais affirme que l'information est manquante pour l'instant afin qu'il puisse se faire une idée claire sur les possibles démarches.
Pour le moment, une vingtaine de passagers de l'autocar de touristes québécois envisagent un recours collectif. Ils ont d'ailleurs déjà pris contact avec la firme d'avocats américaine Jazlowiecki & Jazlowiecki, spécialisée dans les catastrophes en transport de masse.
Recours collectif de plusieurs millions de dollars
S'il devait y avoir un recours collectif contre l'agence de voyages et les propriétaires de l'autocar, le tout se ferait aux États-Unis.
On parle ici d'une réclamation de plusieurs dizaines de millions de dollars pour grossière négligence et bris de contrat.
Il faut comprendre dans la présente situation qu'un recours semblable serait impossible au Québec, où les accidentés de la route sont couverts par les indemnisations de la Société de l'assurance automobile du Québec, sous le principe de l'indemnisation sans égard à la faute (no-fault) .
La principale raison d'être de la loi du ¨no fault¨ est d'éviter les poursuites civiles entre parties impliquées dans une collision, comme on le voit souvent aux États-Unis, ce qui sera le cas si le tout devait se concrétiser dans ce dossier.
À suivre...
Rejoint par notre service de nouvelles, Alain Blais affirme que l'information est manquante pour l'instant afin qu'il puisse se faire une idée claire sur les possibles démarches.
Pour le moment, une vingtaine de passagers de l'autocar de touristes québécois envisagent un recours collectif. Ils ont d'ailleurs déjà pris contact avec la firme d'avocats américaine Jazlowiecki & Jazlowiecki, spécialisée dans les catastrophes en transport de masse.
Recours collectif de plusieurs millions de dollars
S'il devait y avoir un recours collectif contre l'agence de voyages et les propriétaires de l'autocar, le tout se ferait aux États-Unis.
On parle ici d'une réclamation de plusieurs dizaines de millions de dollars pour grossière négligence et bris de contrat.
Il faut comprendre dans la présente situation qu'un recours semblable serait impossible au Québec, où les accidentés de la route sont couverts par les indemnisations de la Société de l'assurance automobile du Québec, sous le principe de l'indemnisation sans égard à la faute (no-fault) .
La principale raison d'être de la loi du ¨no fault¨ est d'éviter les poursuites civiles entre parties impliquées dans une collision, comme on le voit souvent aux États-Unis, ce qui sera le cas si le tout devait se concrétiser dans ce dossier.
À suivre...
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