Le candidat conservateur de Montmagny-L’Islet-Kamouraska-Rivière-du-Loup, Bernard Généreux considère qu’il est vital que le plan d’action canadien pour la santé mentale soit connu du plus grand nombre.
Vendredi dernier avait lieu la journée mondiale de prévention du suicide. M. Généreux a été extrêmement touché par le décès de jeunes hommes de son comté qui se sont enlevé la vie au cours du printemps et tient à présenter les solutions mises de l’avant par le Parti d’Erin O’Toole.
« La pandémie de COVID-19 a aggravé la crise en santé mentale au Canada, plus particulièrement pour les jeunes. Après une année de confinement, un Canadien sur cinq a présenté des symptômes de dépression, d’anxiété ou de trouble de stress post-traumatique durant cette période. Ces données ne peuvent pas s’accumuler et être consignées sans que des actions concrètes soient entreprises, c’est inadmissible! », a déclaré Bernard Généreux.
Selon le candidat local, les conservateurs du Canada prendront des mesures immédiates pour agir pour le système de soins de santé du Canada en rencontrant les premiers ministres durant les 100 premiers jours suivant leur arrivée au pouvoir afin de proposer un nouvel accord sur la santé.
Un gouvernement conservateur ramènerait ainsi le taux de croissance annuel du Transfert canadien en matière de santé (TCS) à un minimum de 6 %.
Cette mesure injecterait près de 60 milliards de dollars dans les systèmes de soins de santé provinciaux du Canada au cours des dix prochaines années.
Cette augmentation massive du financement aidera, selon M. Généreux, à régler les problèmes systémiques qui ont précédé la pandémie, comme le surpeuplement des hôpitaux et ceux qui ont été aggravés par la pandémie, comme les retards accumulés en chirurgie.
Elles permettraient également aux provinces de disposer de plus de fonds pour faire face à la crise de la santé mentale et de la toxicomanie au Canada.
Ce financement s'ajoutera aux investissements historiques qu'un gouvernement conservateur fera pour s'occuper de la santé mentale des Autochtones et à l'épidémie d'opioïdes.
« La problématique reliée à la toxicomanie peut sembler bien loin de nos réalités régionales et ne toucher que les grands centres, mais sous-estimer leur proximité, leur accessibilité et leurs ravages nous éloignent du comportement proactif que nous souhaitons déployer. Les dommages et les effets collatéraux commencent pourtant à se faire sentir dans nos écoles, dans nos milieux de travail; une attitude responsable est de faire face à cette problématique, et non de se voiler la face en pelletant la responsabilité aux organismes sociaux sans aucun soutien », a dénoncé le candidat conservateur Bernard Généreux.