TransCanada Énergie Est était de passage mardi en fin d'après-midi au Centre culturel de Cap-Saint-Ignace pour renseigner la population locale afin que cette dernière comprenne mieux le projet.
Parcours, d'ailleurs, qui mènera la compagnie à Saint-Damase-de-L'Islet ainsi qu'à Lévis.
C'est donc dans une salle achalandée par une foule de citoyens intrigués que le porte-parole de la compagnie, Philippe Cannon a répondu aux nombreuses interrogations des médias et des citoyens sur place.
Questionné par notre service de nouvelles à savoir pourquoi TransCanada avait choisi Cap-Saint-Ignace pour expliquer les bien-fondés dudit projet, monsieur Cannon n'a pas voulu faire de corrélation avec l'opposition de la localité au passage de l'oléoduc sur son territoire.
Selon ce dernier, TransCanada désire aller dans le plus d'endroits possible afin de bien expliquer en entier le projet qui est encore, selon lui, méconnu du public.
Monsieur Cannon a ainsi tenu à rappeler que la compagnie investit plus d'un milliard par année afin de s'assurer et d'améliorer la sécurité de leurs installations, tout en avouant que l'ensemble du projet n'est pas entièrement sécuritaire, mais qu'il dépasse largement les standards du marché pour de telles infrastructures.
Questionné aussi au sujet des nombreux opposants au passage de l'oléoduc et de la construction d'un port pétrolier à Cacouna, monsieur Cannon a affirmé avec le plus grand sérieux du monde qu'il était content de voir qu'il y avait des gens qui se préoccupaient autant que lui de l'environnement, tout en rappelant que ces derniers n'ont pas le monopole de la vérité ainsi que celui de la préservation de l'environnement.
« TransCanada place énormément d'énergie et de moyens afin de trouver des solutions pour conjuguer développement économique et protection de l'environnement, » de confier le porte-parole.
Philippe Cannon souhaite ainsi rassurer la population voulant que TransCanada ne ménage pas les moyens pour assurer la protection de l'environnement et des espèces menacées comme le béluga du Saint-Laurent.
Rappelons que c'est plus d'un millier de personnes qui ont participé samedi dernier à une marche de contestation à Cacouna, demandant ainsi l'arrêt complet et définitif des travaux de forages dans le fleuve Saint-Laurent aux abords du village du porc-épic, afin que le port pétrolier ne se concrétise pas.
Parcours, d'ailleurs, qui mènera la compagnie à Saint-Damase-de-L'Islet ainsi qu'à Lévis.
C'est donc dans une salle achalandée par une foule de citoyens intrigués que le porte-parole de la compagnie, Philippe Cannon a répondu aux nombreuses interrogations des médias et des citoyens sur place.
Questionné par notre service de nouvelles à savoir pourquoi TransCanada avait choisi Cap-Saint-Ignace pour expliquer les bien-fondés dudit projet, monsieur Cannon n'a pas voulu faire de corrélation avec l'opposition de la localité au passage de l'oléoduc sur son territoire.
Selon ce dernier, TransCanada désire aller dans le plus d'endroits possible afin de bien expliquer en entier le projet qui est encore, selon lui, méconnu du public.
Monsieur Cannon a ainsi tenu à rappeler que la compagnie investit plus d'un milliard par année afin de s'assurer et d'améliorer la sécurité de leurs installations, tout en avouant que l'ensemble du projet n'est pas entièrement sécuritaire, mais qu'il dépasse largement les standards du marché pour de telles infrastructures.
Questionné aussi au sujet des nombreux opposants au passage de l'oléoduc et de la construction d'un port pétrolier à Cacouna, monsieur Cannon a affirmé avec le plus grand sérieux du monde qu'il était content de voir qu'il y avait des gens qui se préoccupaient autant que lui de l'environnement, tout en rappelant que ces derniers n'ont pas le monopole de la vérité ainsi que celui de la préservation de l'environnement.
« TransCanada place énormément d'énergie et de moyens afin de trouver des solutions pour conjuguer développement économique et protection de l'environnement, » de confier le porte-parole.
Philippe Cannon souhaite ainsi rassurer la population voulant que TransCanada ne ménage pas les moyens pour assurer la protection de l'environnement et des espèces menacées comme le béluga du Saint-Laurent.
Rappelons que c'est plus d'un millier de personnes qui ont participé samedi dernier à une marche de contestation à Cacouna, demandant ainsi l'arrêt complet et définitif des travaux de forages dans le fleuve Saint-Laurent aux abords du village du porc-épic, afin que le port pétrolier ne se concrétise pas.
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