Comme la Sûreté du Québec l’avait annoncé au début de la présente saison de motoneige, ses policiers sont présents dans les sentiers de motoneiges ou de VTT, dans le but de s’assurer du respect de la signalisation mise en place et des lois qui régissent la conduite de ces véhicules, entre autres, en ce qui a trait à la conduite avec les capacités affaiblies pas l’alcool, la drogue ou une combinaison des deux qui s’appliquent pour ces engins, et ce, au même titre que pour la conduite automobile sur le réseau routier.
En fin d’après-midi dimanche, les policiers motoneigistes ont procédé à la vérification de près de 35 motoneigistes qui circulaient dans le sentier fédéré numéro 5 du secteur Saint-Bruno-de-Kamouraska, en plus de procéder à l’arrestation d’un motoneigiste de la région qui conduisait sa motoneige sous l’influence de l’alcool qui a dû par ailleurs se soumettre à des tests d’alcoolémie après avoir été dirigé au poste de la SQ alors que d’autres agents procédaient au remisage de sa motoneige.
Étant donné qu’il reste encore plusieurs autres semaines à venir pour la pratique du sport de la motoneige, La Sûreté du Québec désire de nouveau faire ces quelques rappels au niveau de la sécurité à motoneige :
• Évitez de partir seul en randonnée et avertissez toujours un proche de l’itinéraire prévu ;
• Avant de partir en randonnée, planifiez celle-ci et informez-vous de l’état du réseau (Motoneige) ;
• Respectez la signalisation et ajustez votre vitesse en fonction des conditions des sentiers ;
• Maintenez une distance sécuritaire entre votre véhicule et celui qui vous précède ;
• Maintenez allumés le ou les phares blancs de votre véhicule ainsi que le feu de position rouge à l’arrière ;
• Traversez les chemins publics aux endroits où la signalisation l’autorise ;
• Maintenez-la droite en tout temps ;
• Évitez de passer sur les cours d’eau gelés à moins que le sentier soit balisé ;
• Portez toujours votre casque et des lunettes de sécurité si le casque n’a pas de visière ;
• Respectez les propriétés privées en vous assurant d’avoir l’autorisation du propriétaire pour y circuler ou demeurez dans les sentiers.
Rappelons que la capacité de conduite affaiblie par l’alcool, la drogue ou une combinaison des deux et la vitesse sont les principales causes de collisions mortelles en motoneige.
Rappelons également que, par ces opérations, l’ensemble des partenaires souhaite que les adeptes de VHR puissent profiter de leurs activités récréotouristiques en toute sécurité, et ce, partout à travers le Québec.
Évite de déraper ! En motoneige, penses-y...
SOURCE: Service des communications de la Sûreté du Québec