M. Germain Poitras (à gauche), président de la caisse Desjardins de L'Islet, et M. Érik Asselin, président de celle de Trois-Saumons.
Regroupement des caisses de L'Islet et Trois-Saumons
Augmentation de la rentabilité, de l'efficacité et de la productivité dans le seul but d'améliorer les services aux membres, telle est la motivation qui soutient le projet de regroupement des caisses Desjardins de L'Islet et Trois-Saumons.
Michel Chassé-L'Oie blanche
Projet qui relève d'une volonté locale: «Le Mouvement Desjardins n'a rien eu à voir dans notre projet. Au contraire, il exige qu'on lui démontre le bien-fondé du regroupement. Cette volonté de se regrouper vient des directions locales qui ne visent qu'un seul objectif: améliorer les services aux membres» de lancer M. Germain Poitras, président de la caisse Desjardins de L'Islet.
Cette volonté ne relève pas non plus d'un coup de tête: «Nous avons étudié plusieurs scénarios et le regroupement est le meilleur. Personne ne perd, c'est une formule ''gagnant/gagnant'' où la gouvernance de la nouvelle caisse serait assumée à part égale par des représentants des deux anciennes entités» d'ajouter M. Pierre Roy, administrateur à la caisse de Trois-Saumons.
Plusieurs éléments jouent en faveur du regroupement. Mentionnons entre autres les investissements élevés liés aux nouvelles technologies, la présence d'une force-conseil hautement spécialisée pour répondre aux besoins de plus en plus spécialisés des membres en matière d'épargne et le maintien d'une rentabilité dans un contexte de forte concurrence.
Avantages
Les dirigeants des deux établissements accordent de nombreux avantages à l'éventuel regroupement: diversification et spécialisation des ressources qui se traduiront par une bonification de la gamme de services, plus grande capacité de développement à long terme, amélioration de la productivité et impact économique bonifié dans L'Islet-Nord.
Autre avantage, la pérennité des ristournes et de l'engagement des deux institutions dans le milieu. Au cours des trois dernières années, chacune des deux caisses a consenti des ristournes, individuelles ou collectives, tournant autour de 1 500 000$: «Je ne connais pas beaucoup d'institutions financières qui en font autant» de souligner M. Poitras.
Le regroupement faciliterait aussi le recrutement et la rétention de personnel parce qu'il permettrait d'offrir de plus grands défis aux employés: «Desjardins, ce n'est pas seulement un comptoir; c'est aussi tout le personnel qu'on ne voit pas» de renchérir M. Poitras.
De plus, les deux caisses actuelles demeureraient ouvertes et personne ne perdrait son emploi.
Étapes
La prochaine étape consistera en une soirée d'information qui aura lieu le 15 avril, après l'assemblée générale annuelle de chacune des caisses. Les dirigeants expliqueront alors les tenants et aboutissants du projet de regroupement et les membres pourront poser leurs questions afin de pouvoir prendre une décision éclairée.
Cette décision se prendra de façon démocratique (un membre = un vote) lors d'une assemblée générale extraordinaire prévue en mai (il reste à préciser la date) et où les sociétaires pourront encore questionner leurs dirigeants avant de voter.
Nom?
Si le regroupement devient effectif, quel nom portera la caisse? Ou se situera son siège social? Les dirigeants ont bien leur petite idée, mais ils préfèrent l'annoncer à leurs membres de vive voix plutôt que par les journaux.
Augmentation de la rentabilité, de l'efficacité et de la productivité dans le seul but d'améliorer les services aux membres, telle est la motivation qui soutient le projet de regroupement des caisses Desjardins de L'Islet et Trois-Saumons.
Michel Chassé-L'Oie blanche
Projet qui relève d'une volonté locale: «Le Mouvement Desjardins n'a rien eu à voir dans notre projet. Au contraire, il exige qu'on lui démontre le bien-fondé du regroupement. Cette volonté de se regrouper vient des directions locales qui ne visent qu'un seul objectif: améliorer les services aux membres» de lancer M. Germain Poitras, président de la caisse Desjardins de L'Islet.
Cette volonté ne relève pas non plus d'un coup de tête: «Nous avons étudié plusieurs scénarios et le regroupement est le meilleur. Personne ne perd, c'est une formule ''gagnant/gagnant'' où la gouvernance de la nouvelle caisse serait assumée à part égale par des représentants des deux anciennes entités» d'ajouter M. Pierre Roy, administrateur à la caisse de Trois-Saumons.
Plusieurs éléments jouent en faveur du regroupement. Mentionnons entre autres les investissements élevés liés aux nouvelles technologies, la présence d'une force-conseil hautement spécialisée pour répondre aux besoins de plus en plus spécialisés des membres en matière d'épargne et le maintien d'une rentabilité dans un contexte de forte concurrence.
Avantages
Les dirigeants des deux établissements accordent de nombreux avantages à l'éventuel regroupement: diversification et spécialisation des ressources qui se traduiront par une bonification de la gamme de services, plus grande capacité de développement à long terme, amélioration de la productivité et impact économique bonifié dans L'Islet-Nord.
Autre avantage, la pérennité des ristournes et de l'engagement des deux institutions dans le milieu. Au cours des trois dernières années, chacune des deux caisses a consenti des ristournes, individuelles ou collectives, tournant autour de 1 500 000$: «Je ne connais pas beaucoup d'institutions financières qui en font autant» de souligner M. Poitras.
Le regroupement faciliterait aussi le recrutement et la rétention de personnel parce qu'il permettrait d'offrir de plus grands défis aux employés: «Desjardins, ce n'est pas seulement un comptoir; c'est aussi tout le personnel qu'on ne voit pas» de renchérir M. Poitras.
De plus, les deux caisses actuelles demeureraient ouvertes et personne ne perdrait son emploi.
Étapes
La prochaine étape consistera en une soirée d'information qui aura lieu le 15 avril, après l'assemblée générale annuelle de chacune des caisses. Les dirigeants expliqueront alors les tenants et aboutissants du projet de regroupement et les membres pourront poser leurs questions afin de pouvoir prendre une décision éclairée.
Cette décision se prendra de façon démocratique (un membre = un vote) lors d'une assemblée générale extraordinaire prévue en mai (il reste à préciser la date) et où les sociétaires pourront encore questionner leurs dirigeants avant de voter.
Nom?
Si le regroupement devient effectif, quel nom portera la caisse? Ou se situera son siège social? Les dirigeants ont bien leur petite idée, mais ils préfèrent l'annoncer à leurs membres de vive voix plutôt que par les journaux.
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