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Bilan de l'assemblée générale de l'association péquiste de Côte-du-Sud

Légende de la photo : Michel Hudon, Frances Bordeleau, Michel Forget, Michel Boivin, Daniel Barbeau, Lynda Racine, Maxim Lizotte et Denise Laprise.

Le dimanche 29 janvier dernier, le Parti Québécois de Côte-du-Sud tenait son assemblée générale à L'Islet. Lors de ladite assemblée, les membres ont pu faire le point sur les activités de l'association durant le dernier mandat.

Parmi les faits à souligner, il y a eu un congrès d'orientation, la campagne électorale de l'automne 2022 et la bonne santé financière de l'association.

Les membres ont également élu leur nouvel exécutif, qui intègre un nouveau membre jeune, soit Maxim Lizotte.

L'exécutif est donc formé de Michel Forget (président), Michel Boivin (vice-président), Daniel Barbeau (trésorier), Frances Bordeleau (secrétaire). On retrouve aussi sur l'exécutif, Michel Hudon, Denise Laprise, Maxim Lizotte et Lynda Racine.

Les membres ont également assisté à une présentation de Jean-François Vallée, membre du Regroupement pour le cégep français.

M. Vallée a présenté un portrait factuel et détaillé du déclin du français et de l'anglicisation du Québec via les cégeps anglophones.

Rappelons à cet égard que c'est au Cégep de La Pocatière que s'est tenue le premier vote pour l'application de la loi 101 au niveau collégial. Depuis, une quarantaine de votes équivalents se sont tenus au Québec pour l'application d'une telle mesure...

Les membres du Parti Québécois constatent que, malgré un mandat majoritaire, le gouvernement de la CAQ ne fait pas le poids devant les défis que le Québec doit surmonter, que ce soit dans le domaine de la santé ou dans le système d'éducation.

Il manquerait toujours énormément de places dans les services de garde, les places en hébergement pour les aînés seraient insuffisantes et les retards s'accumuleraient de plus en plus dans le système de justice.

Également, selon l'asso, le gouvernement de la CAQ ne ferait pas le poids devant le gouvernement fédéral, comme en témoigneraient le dossier de l'immigration (où le Québec a perdu le contrôle) et les attaques à venir contre les lois québécoises sur la laïcité et sur le français.

Par ailleurs, le 11 mars prochain se tiendra un congrès à Sherbrooke. Pour le Parti Québécois, ce sera l'occasion de réviser son fonctionnement, ses statuts et de procéder au vote de confiance envers son chef, Paul Saint-Pierre Plamondon.


Source : Michel Forget

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